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Drogo a publié une note il y a 14 ans
Cependant, le temps passait, toujours plus rapide; son rythme silencieux scande la vie, on ne peut s’arrêter même un seul instant, même pas pour jeter un coup d’œil en arrière. « Arrête ! Arrête ! » Voudrait-on crier. Mais on se rend compte que c’est inutile. Tout s’enfuit, les hommes, les saisons, les nuages; et il est inutile de s’agripper aux pierres, de se cramponner au sommet d’un quelconque rocher, les doigts fatigués se desserrent, les bras retombent inertes, on est toujours entrainé par ce fleuve qui semble lent, mais qui ne s’arrête jamais. (chapitre 24).