L'Anneau de Justine

Salle Noire pour une Nuit Blanche (suite & fin )

Le coup de pied tombe aussi sec ! Dans ton cul… Violent… Sans appel…
Tu bascules…Tombes sur le coté… Te mets en boule… En position de protection.
On te balance un seau et une serpillère… Contre le visage.. Aveugle…
« Essuies souillon ! » « Nettoies tes saloperies ! » « Ha ha ha !!! » Rires… Chacune de sa répartie…
Chacune de rire… De toi… Petit être… Nu… A leur merci…
La pointe de la botte… Cherche ton anus… Tu as le rosebud… Elle triture ce bijou…
Tu essuies… Une main… Colle la serpillère à ta bouche….
Tu reconnais l’odeur de la lessive, mélangée au champagne…
Au moins était-elle propre… Tu étouffes… Tu tousses…
« Sans tes mains ! »… Nouveau coup de pied… Sec… Sans appel…
« Essuies ! »… « Plus vite ! »… « Allez ! »…. La voix… Les voix… Te pressent…
Bousculent ton esprit… Tu ne sais plus… Tu obéis…
La serpillère coincée entre les dents… Tu essuies…

Au loin un claquement sec… Tu frémis…
Ce bruit… Tu l’as reconnu… Tu l’as identifié…
Il te fait iriser le poil… Un frisson te parcourt l’échine…
Dame est là… Son fouet… Sa manière de le faire claquer…
Tu n’oses plus bouger… Peut-être… Si tu ne bouges pas…
Peut-être serai-ce moins… Douloureux… ?
Tu sais… Tu la connais…. Sa main… Ferme… Sèche…
« Aïeeee ! »… Tu n’as pu retenir ton premier cri…
Lorsque le 1er coup de fouet a mordu ton dos…

….. Le corbeau l’accompagne ….Big Ben aussi….il est Une Heure….
«  » Debout » » , Vous deux….Préparez moi calim sur la table…..!! toi Va me chercher Xav aux écuries ….qu’il me nettoie les dalles avec sa langue!!

On m’enlève le bandeau….. j’aperçois Succube & Towandaa….. la première tirant sur la laisse à l’avant …la seconde me bottant le rosebud à l’arrière…..
je ne sais ou donner de la tête….splendides créatures soumises….soudain !! un corset souligne un magnifique dos , la crinière noire attise mes désirs, des bottes cuirées gainent vos jambes élancées…. Vos mains gantées trient les joujoux sur le grand meuble en bois sombre.

Plaqué & sanglé sur le sky de la table, une potence avec une bombonne d’eau au dessus de ma tête, un treuil un cable qui rejoint l’autre bout du lit noir, des poulies , des mousquetons….. des chainettes …..
«  »Dès qu’il sera prêt….vous vous mettrez en position d’attente tétons pincés..!! «  »

Vos talons claquent au rythme d’un surveillant général …. doucement , fermement ….une cagoule à anneau à la main,quelques lanières de cuir, des cordelettes….Votre Visage rejoint le mien ….pour y laisser un coup de langue sur toute la face…..comme cette proie que l’on délecte après….la cagoule en place, seuls deux petits trous laissent passer l’air au niveau du nez….vous resserez le tout ferment à la base de mon collier.L’anneau est pris par un mousqueton arrimé sur une traverse basse ….ma tête est plaquée , deux mors en caoutchouc noirs viennent figer l’ensemble tel un étau….. «  » tu es à moi » »….. ce chuchotement résonne en ma tête….

La porte grince….les talons ne couvrent pas les chainent qui ripent les dalles…. » » A genoux !! et lape le sol..tout doit être nickel «  »
Xav de dire .. » ».mais le verre….??? «  »…….
- c’est pas mon problème….tu te démerdes !!
plus un bruit …..seuls les maillons qui glissent laissent entendre l’avancement du soumis…..

Durant ce temps ….Vous me reliez les petits orteils à chaque coins de la table en serrant ….un aie!! sort de la cagoule….le corbeau l’accompagne….. » » Silence je ne veux pas t’entendre!! » »……les deux se taisent…..
un autre lien saisit les deux gros orteils…..et le serrage se fait vers l’intérieur… un râle remplace le aie….. «  » qu’ai-je dit !! «  »

une cordelette entoure la base de mon sexe et couilles…pour rejoindre le poulie sur le câble du haut….. un petit parachute posé sur mon gland prolongé d’une chaine vient se marier avec la première corde…..je bande…!!

le cliqueti de la manivelle met l’ensemble sous tension, mon sexe pointe la lucarne haute le la pièce , je laisse partir un second râle le corbeau me répond…..
un dernier mouvement de rotation ….. pour ensuite me souffler votre haleine emplie de sadisme en me disant
je vais ouvrir le goute à goute…tu compteras pour ne pas t’endormir «  » …..

Les bing ….bing…..bing….. se succèdent à cadence régulière et résonne en ma tête……

Tout le monde dehors !! Votre pas couvre les autres…. la porte grince le verrou tombe…. Big Ben sonne deux heures…..

les contraintes sont comme une balle de flipper….mon cerveau essaye de suivre…..bing….bing….bing……

Big Ben traine ….. il annonce trois heures ….. le corbeau sommeille, ma nuque et mon dos sont trempés.
j’essaye en vain de me repositionner sur ce banc de contraintes….l’eau glisse à chaque léger décollement de mon dos.

Ma queue n’est plus qu’un morceau de muscle distendu, les raideurs s’en sont allées au fil des bing…bing……tout n’est plus que contraintes !!
Le rappel à l’ordre des orteils….. confirme mon appartenance totale pour la suite……j’ai froid…..

un léger grincement …la porte….. pas de bruit de bottes….. Soudain …une voix me chuchote à l’oreille…
«  » c’est moi calim….Towandaa….. j’ai ordre de vérifier ta bonne tenue….et d’allumer tous les cierges…. hihi….. (avec un soupçon de sadisme)
l’excès de zèle de la petite garce…lui fait vérifier la tension des sangles et cordes, et avant de repartir deux tapes sur les couilles en disant «  »les pauvres » »…..elle actionne le robinet du goutte à goute…..bing ,bing,bing….tout s’accélère…..dans ma tête aussi……
une belle lueur traverse désormais le cuir de la cagoule…..quelques rires étouffés accompagnent les talons….. les deux autres soumises entrent à leur tour….. Succube de dire… «  » Towandaa , mets tes bottes, Madame n’aimerait.. pas si tu n’est pas en tenue…. » » un Yess «  »complice Towandaa s’exécute.

S’en suit le pas de Madame que je peux reconnaitre parmi cent..!!

«  » Bien bien…. rétirez le masque à calim et rapprochez les bougies…!! «  » un «  » bien Maitresse «  » en coeur et me voila débarrassé du cuir étouffant ….la lumière vive me fait fermer les yeux un instant….. mes paupières se rouvrent doucement …. Quel délice pour mes yeux de voir ces créatures …. s’agiter doucement aux préparatifs pour la fin de nuit….. quand…. » » mettez lui un support sous la nuque il doit voir..!! «  »
débarrassé de «  » l’étau » » tête relevée….. je jouis du spectacle …à presque en oublier mes contraintes…..

Quand les Anges se sont démons……!!

Le cuir sur ces peaux blanches & mates , le bruit des talons , redonnent un soupçon de vigueur à mon bas ventre.

«  » Amusez vous les filles……mettez moi cette petite chose en condition..!! «  »

-Towandaa…. sexe couilles et cul
-Succube ….. prépare les tétons
-Myrina ……. mets lui le mors….

Myrina………. discrètement belle, elle m’applique avec savoir faire l’accessoire fermement …Liège restera toujours Liège…..

Succube retire ses gants , ses longs doigts fins dont les ongles soulignent l’art de la finition parfaite…..vont et viennent sur les tétons pour les encourager à pointer….elle les roule entre pouces & index….la pression se fait plus forte…..mes jérémiades débutent …. » » Silence !! » » je me calme…il faut dire que j’ai horreur de cela…. !! et tous le savent…. raison de plus….

Towwandaa garde ses longs gants , une main malaxe mes boules et l’autre tente …. réussie à plonger son majeur dans le petit trou récalcitrant…… une vraie tête chercheuse…..son sourire en dis long sur sa perverse imagination…….

D’un tour de manivelle, Madame libère la tension ….. le sang retrouve son chemin ….mes orteils s’éveillent….
-Towandaa….je veux qu’il bande…!! un bien Madame accompagne le geste et le sourire de l’impertinente……
-Succube…est -il prêt ??!!
- Pas tout à fait Maitresse,….. je vais lui poser deux pinces…et il est à Vous…..
-Myrina….. mets lui donc le plug gonflant ….. ensuite toutes les deux en position de soumission, tête haute…vous profiterez du spectacle !!
- bien Madame…… trois petits coups….il est calé en place..!!
Towandaa…tu restes avec moi !!

La chainette des pinces rejoint le câble , la manivelle tourne , la tension initiale me fait hurler….mes tétons agonisent……des larmes coulent sur mes joues……

Votre cravache pointe ça et là…. vérifie , tapote, glisse et creuse…. et finit par deux claquements sur l’intérieur de mes cuisses….

S’en suit un «  » Bien Bien » » (votre mot…..) qui laisse présager une suite intense…..La Cire……..
Big Ben sonne 4 heures ….. j’entends au loin le chant italien d’un pizzaiolo comblé…….. contraste qui ne lève rien à mes Maux

Tout n’est que Silence, il mémorise les heures passées pour que les deux dernières aussi restent à jamais gravées en ces murs humides.
Les trois « belles » » reviennent sans bruit , chacune le sourire en coin….. elles distancent Madame qui Claque sa cravache dans la Paume….
un petit constat visuel avant de lancer……en appuyant le cuir sur ma langue….
– je vais figer tes maux pour quelques moments petite chose…!!
Le sablier qui égraine le temps, vous rend Plus Belle d’heure en heure …… . Votre visage rayonne sous les flammes qui lèchent les murs, je mords le cuir un instant ….. un pincement sur un des tétons me fait lâcher prise…..
Les trois belles forment un demi cercle autour de la table…. deux chandeliers dans les mains….. L’une plus exquise que l’autre….!!

Vous retirez méticuleusement un cierge après l’autre….. et, les gouttes commencent à pleuvoir….ça et là…..sur mon corps……
- Mes flancs réagissent par des petites secousses …. «  » Tu ne bouges pas…!! «  » Towandaa laisse sa perversité s’étaler sur mon bas ventre velu…. seules mes parties et mon trou sont lisses…. un volcan s’éveille…. Madame fige le gland …. la lave coule le long de la verge….sa main gantée soulève mes burnes pour les colorées à leur tour….Succube et Myrina , un téton chacun , soudent les pinces…. des aieee des grrrr…. je râle …. le quatre mains au niveau du sexe se laisse aller à créer un pic rouge…… !!!
«  » Regarde Caliméro….. c’est beau….. , ton lamentable sexe …un paquet cadeau…. » » sarcasmes et ricanements accompagnent les dernières gouttes.

Votre pouce &index serrent ma mâchoire pour me dire.. » » Bien Bien…. je laisse les sauvageonnes retirer la cire…..je te reverrai pour la DERNIERE…heure…. » »

les trois femelles s’exécutent….. une petite roue à pointes défile sur mon corps pour briser la cire…. je râle , Towandaa….. plie la verge et tire sur la queue…. comme on décortique les gambas….. toujours ce sourire …..vicieux …qui me dit …faut passer par là …héhé…

Succube et Myrina…. malaxent , griffent et tapotent les tétons pour retrouver la base des pinces……et les retirer….Misère..!!! une douleur Extrême envahit les bouts….!!!

je suis exténué…. lever la cire …est pire que la mettre….mais c’est un ensemble……

une brosse rigide vient nettoyer sans ménagement les derniers copeaux……..

Towandaa… libère l’air du plug et le retire…. doucement avant de le libérer d’un geste leste…c’est tout elle…..

les deux belles détachent mes jambes , les sangles, avec un «  »debout «  » qui ne laisse pas réfléchir .

Tu t’allonges sur la dalle…. près des suspentes….!!

des bracelets viennent serrer mes chevilles , les lourdes chaines reliées au treuil, viennent se solidariser au cuir.
même sanction pour mes mains…..
Towandaa…. m’enfile trois glaçon dans mon trou récalcitrant…..
Succube & Myrana ….soufflent les bougies….. L’aube pointe….. il est cinq heures à Londres…….Paris s’éveille…..Big Ben me la confirme.

Towandaa…de dire…. » » bye bye Caliméro…Madame viendra Seule pour Ta Dernière heure….. «  » avec une impertinence …perverse.

Le corbeau reste bouche bée….. je crains le pire….mais quel Pire….???

Le silence.. Enfin… Du repos… Tu profites… Le calme…
Ta peau… La chaleur des coups… Les brûlures de la cire… Le froid des glaçons…
Tu m’attends… Tu ne sais pas quel sort je te réserve pour ta dernière heure.
Tu connais ma perversité… Tu sais que tu vas aimer… Dans la souffrance… Tu bandes !
Tu fermes les yeux… Il faut que tu te contrôles… Tu n’as pas le droit de jouir… Je te l’ai interdit !

Un frôlement sur ta jambe… glisse sur ta cuisse… remonte sur ta hanche…
Hum ! C’est doux !… Mais d’où vient ce frôlement ? T’es-tu assoupi ?
Impossible à comprendre… D’ailleurs tu n’en as pas le temps…
Tes yeux craintifs suivent le jeu lascif de la plume… sur ton corps…
Tu connais ma patience… Mon visage affiche ce sourire dont tu crains la teneur.

Une plume blanche…. Sur ta hanche…. Glisse dans l’aine… Remonte sur ton nombril…
Redescend de l’autre coté… L’autre hanche… L’aine…
Viens chatouiller tes testicules… Ne s’y attarde pas.

Ma main gantée redresse ton membre, tire sur ta peau, joue le va-et-vient qui te fais exploser.
Non ! Tu ne peux pas ! Je ne t’ai pas encore dit « Oui »
Tu mords dans le caoutchouc pour détourner ton esprit de tant de douleur et de plaisir subtils.
Je te branle vigoureusement. Ton jus est là. Tu veux exploser dans ma main.
Tes yeux supplient. Les miens restent inflexibles.

Je pose la plume et prend un tissu… Qu’est-ce donc ? Oh l’autre gant, celui qui devrait couvrir mon autre main.
Il vient te gifler… « Tu es à moi ! Caliméro ! »
« Ce soir, tu n’as senti que les prémices de ce dont tu peux me plaire… »
Ce faisant, je te libère les mains et les pieds… « Donnes-moi ta laisse ! »
Tu sais que ma demande est à faire sans les mains.
Tu te retournes et te baisse pour attraper entre tes dents l’objet…. Et me le poser dans ma main.

Ma main gantée, flatte tes fesses… Cherche la fente… Glisse le long de ton trou… Caresse tes bourses.
Ton érection est totale et entière.
Brusquement, je tire sur ta laisse… Te fais descendre de la table… Te fais marcher à mon pied, à mon pas.
« Voyons voir si tu lis et apprends les enseignements de Designer ? ou de Maître Franck ? Position de la Prière »
Sagement tu prends position. « Fermes les yeux ! »… Tu obéis.

Un frôlement sur ton postérieur… Tu reconnais le cuir de la paddle… Ne te l’avais-je point promis ?
« Comptes ! »… Un… Deux… Trois… La douleur, à peine oubliée, reviens immédiatement.
Quatre… Cinq… Six… Ton sexe bien érigé suinte… Sept… Huit… Neuf… Dix….
Les coups sont rapprochés… D’égales puissances… Et bien placés… Tu les ressens jusque dans tes couilles.

Nouveau frôlement… Mon gant…. Une caresse… Je me baisse… Te presse le sexe vers le sol…
Encore… Encore… Je te traie… Pression de ton membre entre mes doigts gantés….
Je suis accroupie derrière toi… Tu cul bien offert à mon regard… Ton sexe à celui de mes mains…
Une pression sur ton gland… Une nouvelle sur tes testicules… Ca serre… Hum !
Je t’ai saucissonnée avec une corde… Tu es dur ! Très dur !… Tu geins !…
« Chut Caliméro ! Pas tout de suite ! La nuit n’est pas finie ! »

Nouveau frôlement, cette fois sur ton visage. Tu tressailles… Tu ne t’y attendais pas…
« Lèches Caliméro ! » Deux doigts gantés dans ta bouche… Ils s’enfoncent dans ta gorge…
Le goût du cuir… Les larmes…. Ton sexe te fait mal… Tu sais ce que ces doigts veulent dire… Tu mouilles…
Tu salives… Tu espères avoir ainsi moins mal… « Mouilles bien Caliméro ! C’est pour toi au final ! »
Tu t’appliques à la tâche…

Big Ben sonne… Le corbeau s’agite… Tu entends les six coups… Tu penses que tu es sauvé…

« Erreur petite chose… Cette nuit nous avons changé d’heure… Il n’est en fait que 5 heures… Tu as donc une heure encore à me consacrer… »
Mon éclat de rire résonne… contre les pierres du manoir… contre tes oreilles…
Tu viens de comprendre… Une heure… Une heure à rester à ma merci…

Le sixième coup s’achève… Le jour va se lever… Ton supplice n’est pas terminé… TA nuit n’est pas terminée…

« Maintenant Caliméro ! Maintenant tu vas sentir ma marque ! »
Le corbeau croasse, tel un ricanement… La main quitte ton visage…. Et par directement sur ton anus.
Te pénètre sans ménagement…. Tu es déjà bien dilaté… Mes deux doigts s’enfoncent… Ressortent…
L’auriculaire s’insinue avec les premiers doigts… Tu râles… Tu aimes… Tu bandes
Ma main tourne… Mes doigts écartent ton fondement… L’autre main te branle… Vigoureusement…
« Non petite catin, tu ne jouis pas ! Je te l’interdis ! Tu jouiras quand JE l’aurais décidé ! »
Une main te presse… Une autre te pénètre.. Tu es chien… Offert à mes doigts… Tu gémis…
Tu as maintenant quatre doigts en toi… Quatre doigts qui s’écartent… Qui t’écartent… Te dilatent…
« Tu aimes ces doigts ? »… A peine ma phrase terminée… Ma main quitte ton trou et vient chercher ta bouche…
« Suces Caliméro ! »… Ce faisant j’essaye d’introduire ma main entière dans ta bouche…
Tu étouffes… Tu tousses… Mon autre main lâche ton membre et vient claquer tes fesses.
« Cesses immédiatement ! Je veux que tu ouvres grand ! »… Les larmes commencent à perler aux coins de tes cils…
Tu ouvres large la bouche… Tire la langue… Ma main s’enfonce au plus loin possible pour toi…
« Mouilles-moi ce gant ! Bon sang ! ».. Tu redoubles d’effort pour lécher, saliver, mouiller…
L’autre continue à te fesser.
« Tu es prêts ? ! »… Ma main quitte ta bouche avec ta salive… Ton anus convulse…
Tu attends… Peu de temps… La pointe de mes doigts force déjà l’entrée…
Doucement… Sévèrement… Je m’introduis en toi… Premières phalanges… Deuxièmes… Tu râles…
Mon autre main te claque… Pour te détendre… Te rappeler à ton plaisir…
« A qui appartiens-tu Caliméro ? »… Tu halètes plus que tu ne parles un petit « A vous, Madame… »
« A qui appartiens-tu ? Je n’entends pas ! » Ma main te martèle les fesses… L’autre s’insère en toi…
« A vous ! Madame ! » Cette fois avec une voix claire et forte…
Au même instant… Ma main casse la dernière barrière de ton anneau…
Je suis en toi… Jusqu’au poignet… Tu gémis… Tu cambres les reins…
Je commence le va-et-vient… Ton érection est presque douloureuse…
Mais je me retire d’un coup… Tu te plains… Ma main a quitté ton postérieur.
« Regardes Caliméro le joli collier spécial pour toi… »
Un morceau de cuir… Devant tes yeux… Ridiculement petit… Trop petit pour faire ton tour de cou…
Serti de rivet… Il est trop petit… Tu as envie de me le dire… Je vois ton regard interrogateur…
« Ha ha ha ! Ce n’est pas un collier pour ton cou… »… Tes yeux s’éclairent… Tu viens de comprendre…
Je passe le cuir sur la base de ton sexe… Emprisonnant tes testicules et ton braquemard… Je serre…
Tu te mords les lèvres… « Hum ! »… Mon rire résonne à tes oreilles… « Je savais que ça te plairait ! »…
Sitôt fini, je reprends mon exploration anale… Ma main s’enfonce sans restriction…
Le croking te serre… Une main te branle… L’autre te fist…
« Pitié Madame je veux jouir… »… « Alors joui ! »… Les mots n’ont pas fini de franchir mes lèvres…
Ta décharge est foudroyante… Un jet… Un second… « Merci Madame »…
Tes épaules s’affaissent… Tu es épuisé… Ma main se retire de tes fesses… L’autre de te sexe…
Deux doigts… Seulement deux doigts… Viennent récupérer de ta semence… Et la portent à tes lèvres…
« Tiens Caliméro… Ta récompense… »… Ta bouche s’ouvre sur mes deux doigts… Tu me lèches…

Le corbeau étire ses ailes… Big ben ne sonne plus… Dans un lointain souvenir… Il te semble te souvenir… Tu as entendu les sept coups… Oui… Mais c’était quand au fait ?

Salle Noire pour une Nuit Blanche…ou… Nuit Noire pour une Salle Blanche…..

……. Nuit Noire pour une Salle Blanche ……..

ces deux doigts tant quémandés…. sont passés du rêve à la réalité, Cette prise en main ferme , marquée à jamais dans mes anales efface Big Ben, le cobeau s’en est volé , c’était hier , j’espère un futur……

La sueur de ce moment perle sur mon corps, je me lève ,l’équilibre instable , ma Laisse tendue me mène vers le fauteuil médical, votre cuir cale mes pieds dans les étriers, me bracelets font corps avec le siège….. je ferme les yeux et me repose, je me laisse guider , un mors viens se hasarder en ma bouche, un poids ,lester le cuir de mon sexe…… Vos talons claquent , la porte grince
«  » caliméro je reviens !! «  »

Tu n’as pas trainé pour t’endormir.
Lorsque tu te réveilles, tu as les jambes sur les étriers, ligotés
Le mors s’est séché sur ta bouche.
Tu le mouilles pour ne pas t’arracher la peau des lèvres.
Tu redresses la tête, pour voir ton environnement, ta position.
De tes mains, libres, tu parcours ton torse, ton sexe, tes fesses.
L’anneau encore douloureux.
Tu penses à moi.
Tu rebandes.
« Lubrique le Caliméro ? »
Je suis là, derrière toi……….

Merci de m’avoir lu…..
caliméro