L'Anneau de Justine

Bonjour maitre571,

je vous souhaite la bienvenue, mais permettez-moi une petite réflexion. Vous êtes en recherche d’une soumise digne de vous, mais vous, êtes-vous sûr d’être digne du don d’elle-même qu’elle vous offrira ? Le matériel ne fait pas tout !

Cordialement

Nuage soumise de Maître George

Il m’arrive, parfois, de penser, très sincèrement, que je suis le meilleur. Mais cela, c’est évident, pour celle qui me reconnait comme son Maître !
Le temps ne fait rien à l’affaire, le matériel se trouve en quelques heures….il y a sur le site des artisans voire des artistes et en cas d’urgence, par solidarité, on a de quoi vous dépanner….et quel jeu fabuleux, arriver les mains nues sans viatique, dans une pièce vide et donner à son imagination et sa créativité, la dynamique d’une Domination d’exception. Ah j’allais oublier..l’Âme…c’est important l’Âme!!! Vous l’avez l’Âme très cher nouveau venu ici ? Bienvenue tt de même!!

d’accord avec vous
Monsieur Dom Lupercus
un vrai Maitre ou Maitresse doit rester humble
ne sait pas tout faire
car on ne sait jaimais tout
on a toujours qq chose a apprendre toute sa vie
et ne s’appelle pas lui meme Maitre ou Maitresse

Bonjour 571,
bienvenue en ces lieux de la part d’un homme dominateur qui, bien qu’ayant commencé le bdsm il y a 20 ans, se considère toujours comme un éternel débutant et qui angoisse de passer à côté d’un signe de sa soumise lors d’une séance et de risquer de lui faire peut être mal.
J’ai reçu le don extraordinaire de soi d’une soumise que je chéri plus que tout au monde et qui fait ma fierté, qui m’a trouvé digne de devenir son Maître tout comme je l’ai trouvée digne de devenir mienne et je l’en remercie pour ce que je considère comme une faveur et un cadeau ultime.
J’ai pour limites celles convenues entre ma soumises et moi-même, considérant que le bdsm doit mener à l’accomplissement de deux être dans une communion et une osmose.
J’ai horreur de punir et lorsque je dois le faire, pour des motifs d’éducation ou de faute (je ne parle pas de »jeu de punition », je ressens autant pour moi cette punition que pour ma soumise, car devoir le faire signifie qu’en tant que Maître, j’ai probablement failli à un endroit si ma soumise a commis une faute.
J’aime à croire qu’un bdsm responsable se pratique dans le cadre d’une consensualité, sainement (de corps et d’esprit) et sécuritairement.
Je ne suis ni Dieu ni diable et ne réclame l’âme de personne, juste le respect de nos règles et convenances dans nos rapports acceptés avec ma soumise.
Si le BDSM peut se voir comme un jeu -un jeu sérieux certes-, tout jeu n’est jouable qu’avec des règles acceptés par l’ensemble des joueurs.
Ah oui, ma soumise et moi prenons, le croirez-vous malgré tout cela, un plaisir quasi infini que ce soit d’ordre sexuel ou cérébral dans notre pratique, découvrant et apprenant réciproquement l’un de l’autre chaque jour…
Au plaisir,
Sir John, un éternel joueur de sa Douce soumise…

Bonsoir Dom Lupercus et merci à vous pour ce »titillement » que je trouve très à propos. Vous m’avez fait relire mon intervention et vous avez mille fois raison, je vais donc développer ma pensée sur le sujet…
Ma réponse con cernant les limites : »celles convenues entre ma soumise et moi-même ». EN effet en allant au bout de ce raisonnement ainsi formulé, on peut être amené à penser qu’en définitive la soumise impose ses limites au Maître, que le Maître voit donc ainsi son »pouvoir » et champ d’action cadré par la soumise. Et bien selon moi, d’une certaine manière cela est vrai. Vrai mais pas exclusif !
Je m’explique… La réciproque est réelle aussi… En tant que Maître, j’ai moi aussi mes limites, de même qu’en tant qu’homme tout simplement. Aussi, la »convention » qui résulte de la soumise et de son Maître ne peut, à mes yeux, que passer par un compromis des limites et envies des deux. Toutefois je convient que si ce compromis devient trop important, nous allons alors vers une incompatibilité. En ce cas, je pense que le couple Dom/soum a peu de chances d’avenir. Mais à l’inverse, il arrive aussi que les limites soient si peu présentes ou tellement identique pour l’un et pour l’autre, que le binome Dom/soum se développe dans une réelle osmose. Le chemin s’offrant alors à lui est alors grandiose !
Je dois nuancer sur un point encore. Le Dominant Maître, a dans le pouvoir que lui confie la soumise, une responsabilité de protection et de guide, ceci plus ou moins de façon prononcée.
En tant que protecteur, il devra veiller à ce que ni lui, ni sa soumise ne franchisse leurs limites respectives ou communes. Mais en tant que guide, n’est il pas de son ressort d’amener sa soumise justement à la limite, voir de lui permettre si cela est possible et raisonnable d’aller au delà ?
Je n’ai pas de réponse générale à donner à cela, chaque cas est bien spécifique en fonction des individus, des circonstances, de l’état d’esprit. Mais les limites que je place devant tout quoi qu’il arrive, sont sont celle de la sécurité de ma soumise…
Je crois sincèrement qu’avec chaque soumise, c’est un nouveau chemin qui s’ouvre, très personnel et intime. Chaque soumis(e), chaque Maître(sse) a énormément à apprendre de l’autre et sur soi-même.
Il est vrai qu’en tant que Dominant j’aime contrôler, guider, protéger. Mais la confiance et l’amour de celle qui rend cela possible pour moi ne pourrait exister sans le respect et l’amour que je lui porte moi-même.
En cela, j’aime à penser que le don de soi fonctionne dans les deux sens…
Merci à vous pour avoir relancé ce sujet, que j’avoue être passionnant.
Bien cordialement,
Sir John

oui c’est excacte soumis briochin

Et voilà , à peine arrivé , je fouille un peu et…. BINGO …la perle rare …

Extraordinaire quand même ce don d’être «  »sûr » » de soi …..

allez les filles , faites l’effort svp…rien que pour la suite du feuilleton

Grand Sourire détendu…..,à lire votre commentaire.