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leaur a publié une note il y a 11 ans et 7 mois
Soirée du 14 septembre au Donjon de Merlin
Une imposante grille bleue en fer forgé. Au fond d’une allée, une grande maison à deux étages aux volets fermés. Une maison bourgeoise de caractère. Il ne doit pas en être moins pour ceux qui en sont les maîtres des lieux!
Accueilli de façon courtoise et chaleureuse par Maître George ( Dragon 29 ) j’ai accès en ces lieux où je suis présenté. Le regard de la maîtresse de maison m’en confirme bien le caractère soutenu par l’attitude du maître des lieux.
Soirée de Mystères en devenir. Que peut – t’il bien se passer dans une demeure qui n’a rien d’austère encore moins de médiéval ? Ici point de lumières tamisées. Seules, quelques bougies pour souligner un point de décoration. Se voir sans s’observer, nous sommes bien loin des tentures d’alcôves qui à défaut de garder les secrets, permettaient d’entrevoir. Je croise tout simplement le regard d’autres initiés(e)s. J’y verrai des regards de complicité de partage ou l’on voudrait que le plaisir ne puisse plus n’être qu’un mot au singulier.
Autour de la table le dîner s’organise. Chacun y trouve sa place et les bons mots ne manquent pas. Complicité joyeuse qui rime avec un profond respect.La vie est faite de rencontres dit-on? Des regards qui se croisent, prémices d’une conversation qui se veut un peu plus personnelle. Comment parler de soi sans flatter uniquement son égo ? Quelles questions poser pour ne pas être simplement curieux tant ce mot semble vraiment déplacé ? Restons simple et suivons le fil d’un échange naturel d’expériences et d’envies. Pour ma part, je ne suis encore qu’un apprenant.
Ce qui me touche c’est tout d’abord l’élégance de son regard. Son sourire discret est comme une invite à l’inconnu que je voudrais braver sans me l’avouer encore. La douceur redoutable ou à redouter puisqu’il s’agit d’une maîtresse ! Il est question de règles avec des codes de non transgression. La confiance ne va pas tarder à l’emporter et je vais passer aux aveux; j’aimerais connaître la situation d’un soumis. Je comprends alors le sens de cette phrase de Victor Cherbulier » » Il faut s’être donné pour avoir le droit de s’appartenir ».
Invité à descendre dans le donjon des lieux je me place sur le tapis au pied d’une croix se Saint André. Des comme celles – ci j’en ai déjà vu! Enfin cette fois, celle- ci elle est pour moi !
» Ici c’est moi qui décide » ! le ton est donné. Ma maîtresse s’empare de ma chemise pour me l’enlever et me demander de tenir les chaînes qui s’offrent à moi. Je sens les caresses d’un fouet à lanières qui me frôle les épaules pour s’exprimer fermement sur le bas de mon dos. D’autres suivront sans que je puisse à ce stade distinguer ce qui prolonge le bras de cette dame que je ne connais pas mais qui est active et décidée. Une main douce après les coups je me sens rassuré. Je sens maintenant des mains qui vont rapidement venir à bout des attaches de mon pantalon. Je me retrouve en slip; bon, ça doit pas être très sexy mais enfin ici dans la pénombre ça passera!! Ce n’est évidemment que pour mieux explorer d’autres parties d’un fouet qui me semble d’une grande gourmandise. Ma maîtresse fait glisser mon slip à la commissure de mes fesses. Le fouet continue son festin. Encore et encore. Je vais bientôt me retrouver nu avec ce qu’il me reste de vêtements sur les chevilles. Je n’ai à vrai dire pas trop le temps d’y penser car ses mains vont alors me saisir le bout des seins en délicieuses pincées suivies des prises en main d’une grande fermeté. Je sens son souffle chaud dans mon coup.
Je commence à être partagé entre excitation, parce que ça je connais!! et un sentiment étrange qu’il se passe quelque chose que je découvre. Pas de souvenirs de fessées même si comme on dit le temps efface. Je me sens curieusement sous l’emprise de cette femme que j’admire dans sa façon de me distiller des douleurs diverses.
Je vais bientôt sentir d’autres mains. Je voudrais bien voir mais je n’ose pas me retourner. D’autant que mes deux maîtresses me proposent en cœur de m’attacher! je dis non, alors que j’aurai bien voulu.
Mon autre Maîtresse me prend la verge comme pour la protéger des coups de fouets que je vais recevoir entre les jambes écartées. Délicieuse douleur ou douleur exquise, une subtilité qu’il me faudra désormais approfondir.
Entre paddle, fouets et badines, d’autres coups vont surtout pleuvoir sur mes fesses qu’en d’autres circonstances on trouve jolies et que l’on aurait tendance à vouloir caresser. Je crains que leur portrait se modifie.!!
Ma maîtresse me serre alors très fort contre elle pour me mordre le haut des épaules. Elle me prend fermement les cheveux et me fait plier la tête en avant. Si c’est trop me dit- elle je devrais lever un pied comme signe pour arrêter.
Je ne lèverai pas un pied. Je crois que je peu dire que je savoure. En même temps je suis conscient d’apprendre, je saurai m’en souvenir quand c’est moi qui serait l’officiant.C’était un nuit de septembre, ma Maîtresse m’enserra dans ses bras. La douceur s’en trouva exacerbée.
Merci Maîtresse. Merci à mes deux Maîtresses.
Leaur
Merci,
c’était spontanément sincère quasiment d’instinct
leaur
Bonjour! très heureux de vous retrouver parmis nous ! Content de voir aussi que vous avez souhaité passer derriere le miroir , pour bien en connaitre les deux faces ! Je vous en félicite ! Beaucoup de domi, devraient en prendre exemple …Au plaisir de vous recroiser lors de la prochaine soirée .Amicalement , Jym
Bonjour, Merci pour ces mots très agréables. Ce fût une très bonne soirée pour apprendre…. cela me semble bien ainsi.
Au plaisir de se revoir bientôt. je serai à la soirée d’octobre du 19.
Amicalement. Leaur
Bonsoir,
Pas de soucis tout d’abord! Vous êtes tout à fait excusée. C’était notre première rencontre je dirai. Une chemise noire sous un costume noir et sous des cheveux blancs!! Je me souviens avoir au début de soirée entretenu une conversation avec Maître Paul à propos de kilt écossais et de musique celtique! Après Maître Paul a commencé son office et j’ai vu de près ce qu’était vos attaches de belle facture en acier à vos poignets . Une belle parure pour une très belle esclave.
Avec le plaisir de se revoir. J’y serai le 19 octobre prochain
A mon tour de vous présenter mes hommages vespéraux.
Leaur
Bonsoir,
J’étais effectivement à coté de Maître George lors de la dépose des fers
En vous remerciant de vos hommages d’esclave