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Alba a publié une note il y a 11 ans et 10 mois
Tout avait bien mal commencé.
La veille je m’étais mise en colère contre mon Maître, qui n’avait pas été franc envers moi pour plusieurs choses. Mais bon j’étais dans l’angoisse le lendemain. Peur qu’il ne soit pas là à la gare pour venir me chercher. Mais si, il y était et il me souriait, il m’a souhaité la bienvenue comme si de rien n’était.
Dans la voiture sur la route de Saumur, nous discutons de notre dispute de la veille et tout s’arrange. Nous arrivons à Saumur, nous allons à l’hôtel prendre les clefs de la chambre, Maître reçoit deux amis. J’attends patiemment assise un peu en retrait. Nous rejoignons les amis de mon Maître qui deviennent les miens aussi et que j’aime beaucoup. Les voir me fait du bien, cela faisait longtemps. Nous sortons dîner ensembles. Nous retournons à l’hôtel pour nous changer, là je dois dire que je commence vraiment à avoir peur. Enfin ! c’est l’heure d’aller au donjon.Sur le parking nous croisons deux autres couples Maîtresses/soumis, nous faisons les présentations.
Il y a là une Maîtresse d’une beauté incroyable, avec des yeux qui vous font baisser les vôtres juste d’un regard, elle est impressionnante !Nous entrons dans le tunnel qui mène au donjon, il s’enfonce profondément dans la terre, ça sent bon. Il y a de la lumière mais il y règne une ambiance assez flippante tout de même. Il plane dans les lieux, une espèce de vapeur, ou de condensation, je ne saurai dire, mais ça ajoute à l’ambiance un côté…ténébreux !
Mon Maître me parle tout du long du chemin de choses et d’autres, il sent ma tension (ça ne doit pas lui être difficile tant elle doit être palpable) Il pousse une porte, me demande de le suivre et là mon cœur s’arrête ! Je viens d’entrer dans une cave voûtée, toute de rouge et de noire décorée, illuminée par des dizaines de bougies de différentes tailles et couleurs. Je vois, ébahie, pour la première, une croix de St André, un pilori, une drôle de table de gynéco, un portique de balançoire…sans la balançoire mais avec une poulie qui en pend, il y aussi une espèce de petit chevalet avec une petite serviette posée dessus, ça pas besoin de dessin, je sais à quoi ça sert.Les Maîtres et Maîtresses entrent à notre suite, ils nous demandent de nous mettre à genoux devant eux, en position d’attente. Nous sommes deux soumises et deux soumis. Ce sont les premiers soumis hommes que je vois.
La soirée est organisée par Maître P et son esclave A qui fêtent leur trois ans de D/s.
C’est donc A qui se déshabille en premier, les Maîtresses demandent à leur soumis d’en faire autant. Le mien ne me dit rien je reste en position d’attente. Lorsque qu’ils sont tous prêts, mon Maître me fait lever et venir près de lui, il me demande d’ôter le haut de mes vêtements. Ce que je fais aussitôt, intérieurement je le remercie de ne pas m’avoir demandé de me mettre nue tout de suite.Chaque Maître et Maîtresse commence par s’occuper de son propre soumis ou soumise.
Il y en a un qui se retrouve tout de suite pris dans le pilori, (euh je parle du soumis hein, pas de sa Maîtresse sourire) cet appareil me fait peur tant il met en évidence l’incapacité qu’à « le supplicié » (non ce n’est pas trop fort je vous assure !) de bouger ou de se défendre. Il vous expose sans aucun autre moyen de recours que celui du safe word si besoin, ou alors à donner des coups de pieds, mais ça doit être aux risques et périls des soumis et soumises qui tenteraient un tel acte ce me semble !
Un autre se retrouve à quatre pattes harnaché comme un chien. Brrrrr !Je ne sais pas ce qui se passe pour l’esclave car à ce moment mon Maître me demande de poser les mains sur une table haute, il relève ma jupe sur mes hanches et prends son fouet. Il veut me mettre en confiance, je connais son fouet, je l’aime bien et il le sait, même s’il cingle bien . Il m’en donne plusieurs fois 10 coups, mon Maître fonctionne comme ça, par vagues de dix coups.
Quand il voit que j’ai un peu de mal à suivre sa cadence ou l’intensité des coups, il s’interrompt et vient me caresser, me demander comment je vais ? Je vais bien mon Maître, merci. Comme j’aime sentir ses mains sur moi quand il me fouette, c’est comme un baume apaisant. Ça me redonne force, courage et envie de continuer.Puis il s’arrête, me donne quelques coups de badine grrrr pas cool et puis il se saisit de la cravache. Il me l’avait dit, ce soir serait ma première fois de cravache, cet instrument me fait peur. Les premiers coups arrivent , mais tout se passe bien, pas si terrible que ça au fond, mais au moment où je commence à m’habituer mon Maître m’en donne quelques uns plus forts, et la je comprends ! Ça claque, ça cingle, ça fait mal…. quoi que pas autant que la badine ce me semble, mais avec mon Maître je dois toujours me méfier, il me réserve souvent des surprises. Il m’ apprend à apprécier un instrument, à l’aimer presque, et la fois d’après il me fait voir qu’il peut faire mal aussi. Il est comme ça mon Maître.
Nous faisons une pause, nous nous retrouvons entre soumis dans un coin et les Maîtres et Maîtresses dans un autre. Ils préservent ce moment d’intimité pour nous permettre de nous parler et de faire plus ample connaissance. (nous en avons profité pour mettre sur pieds un syndic de soumis, pauvre B, rire)
Maîtresse L vient vers nous et me demande si je souhaite avoir une suspension, je me tourne vers mon Maître, d’un signe de tête il acquiesce. Je me retourne vers la Maîtresse et lui dit : oui Madame.
Elle me dit : « il faut que tu soit nue ! ». Aïe ! c’était trop beau pour que ça dure cette histoire là ! (sourire) Je me retourne de nouveau vers mon Maître, il me refait signe d’obéir. J’ai le cœur qui se serre, mais je veux par dessus tout, qu’il soit fier de moi, alors ne le quittant pas des yeux et faisant fi des autres, je baisse ma jupe sous laquelle je me devais d’être nue bien sûr.La Maîtresse me prends par la main et me mène sous la poulie de la balançoire. Mon cœur bat la chamade, elle a des yeux superbes, pleins d’un je ne sais quoi qui vous oblige à lui obéir. C’est la première Maîtresse que je croise et grâce à elle je n’aurai pas d’appréhension à en croiser d’autres. Elle est magnétique ! Elle me parle gentiment, je ne me souviens plus des mots prononcés, juste de sa voix, de son très joli accent, mais se sont surtout ses yeux que je garderai en mémoire !
Je ne regarde qu’elle et mon Maître qui me sourit pour m’encourager. Elle se saisie d’une corde, me la passe sous le nez pour que je la sente, je respire, ça sent bon, la nature, oui je sais ça peut vous sembler étrange, mais c’est cette image que j’ai eu. Elle commence lentement à me faire le shibari qui me permettra d’être suspendue. Et chaque fois qu’elle prend une nouvelle corde elle me la fait respirer, et à chaque fois la même odeur, la même image de nature…
Elle me demande souvent si je vais bien, si rien ne me gêne, elle me dit : « profite du voyage jolie soumise Aube ». C’est ce que je fini par faire, tout s’estompe autour de moi, je ne vois plus mon Maître, (pardon mon Maître d’amour) il n’y a que cette Maîtresse, sublime et moi, cette Maîtresse et cette odeur qui effleure mes narines de temps à autres, la corde commence a m’habiller de plus en plus. J’entends Maîtresse L respirer dans mon cou, sur mon dos. Je sens ses mains qui me frôlent, m’enserrent dans ce carcan de cordes, je me sens bien, comme dans un cocon. Je n’ai pas peur, je me demande si je ne commence pas à planer un peu. Je suis les mouvements que le bondage m’oblige à faire.
C’est bon de se laisser aller de la sorte. Je profite du voyage.
Puis à un moment elle me demande de lever une jambe vers l’arrière. Je ne suis plus que sur une jambe et mon corps oscille, se penche en avant, juste retenu par les cordes et mon autre pied, je tourne légèrement sur moi même. Je sens quelqu’un me saisir l’autre jambe, elle m’attache je ne touche plus le sol. Elle me demande si je vais bien , oui je vais, j’ai juste un peu mal aux chevilles, mais tout le reste de mon corps flotte, aucune douleur, aucune appréhension, juste cette drôle de sensation, … la tête me tourne un peu, mais c’est bon ! Je sens mon corps mais en même temps c’est comme si ça n’était plus le mien, juste les chevilles. Je vois autour de moi, mais ne discerne pas les visages. Je suis bien, mon corps est-il le mien , Juste les chevilles !
Alors on me fait redescendre, je sens mes pieds retoucher le sol et là mon esprit n’a pas suivi mon corps. Je suis là et plus tout à fait là en même temps. Je ne sens plus rien, je ne sais plus où est mon corps, je me sens vaciller, m’écrouler ? Je ne sais pas . J’entends que l’on parle, mais je ne sais pas ce qu’on me dit. Je me sens ballottée, je ne veux pas revenir, c’est bien trop bon. Je suis comme dans un nuage, oui je dis bien comme DANS un nuage. Et puis au milieu de ces brumes délicieuses, je vois le visage de mon Maître, je demande : où est mon Maître ? On me dit qu’il est là, qu’il ne m’a jamais quitté, sa voix est derrière moi il me dit : » je suis là Aube, je suis là, je vous soutiens. »
Pourquoi cette inquiétude dans sa voix, je ne comprends pas ? Je suis bien . Je me tourne un peu et je le vois là, en fait je suis tout contre lui, il est assis par terre et ma tête repose sur ses cuisses, il me sourit. J’ai du mal a émerger, il me propose de boire un peu de jus d’orange, mais je suis tellement molle que j’ai du mal à le faire. Je ne peux et ne veux que me serrer contre lui.Maîtresse L me demande comment je vais, je lui répond d’une voix qui vient de loin dans ma tête : « je vais bien merci, Madame. »
« Elle fait un subspace » dit-elle à mon Maître. Un subspace, ce mot fait son chemin jusqu’à mon cerveau, je le connais. Mais je doute que j’en fasse un, il parait que c’est très dur d’en faire alors je me dit : pas possible, je suis juste très bien, là, abandonnée contre mon Maître ! Je voudrais ne plus bouger. C’est un instant magique que je garderai comme un trésor.Et puis je reviens doucement à moi, je continue de regarder mon Maître qui me parle doucement, qui me regarde tendrement. Je réussi à me relever un peu, il insiste pour que je boive un peu. Il a raison ça me fait du bien, je me sens mieux, bien que je ne me sentais pas mal du tout….Étrange !
Ma nudité ne me gêne plus. Mon Maître se lève et va s’asseoir sur une chaise, je m’installe entre ses jambes pour finir de récupérer pendant que Maîtresse L refait le même bondage sur son soumis. C’est à ce moment là, en la regardant faire de l’extérieur, que je remarque l’intensité de sa concentration, la dose d’énergie que cela lui demande.
Je ne me souviens pas de tout dans l’ordre dans le quel les choses se sont passées. Je revois encore la cérémonie de la remise de Médaille de l’esclave A que son Maître avait fait graver à son intention. Il y a dessus la marque qu’elle a reçu au fer rouge. La médaille est superbe et l’esclave heureuse. Je me prends à rêver de pouvoir offrir cela à mon Maître un jour, porter sa marque à tout jamais.
Je revois l’autre Maîtresse S m’arroser de temps à autre de cire de bougie, j’adore ça en fait, elle me dit que le rouge de la cire est magnifique sur ma peau blanche. Elle m’en verse sur le dos et les seins, j’aime et m’offre .
Le Maître de cérémonie propose à Maîtresse L si elle veut un bondage elle aussi. Je suis étonnée, elle accepte. Elle dit qu’elle subit toujours ce qu’elle fait subir à ses soumis. J’aime assez cette idée là. Elle se déshabille et, comme une soumise, mais ne vous y fiez pas son regard était le même ! Elle se laisse bondager. Maître P est un artiste, son bondage est magnifique, de trois couleurs et encore une fois, je suis surprise par l’énergie et la concentration que cela leur demande. Je suis admirative du savoir faire de ces deux Maîtres/se . Chacun a sa façon, sa manière de faire, les bondages sont bien différents. Mais ils ont pour points communs cette énergie et cette concentration identiques chez eux deux.
Après le gâteau (que je n’ai pas pu goûter grrr) Maître P demande si je veux essayer le grand fouet, cela me tente en effet, mais je lui dit qu’il doit demander à mon Maître (qui est son ami) je me tourne vers lui et je vois qu’il veut bien.Ce Maître me demande de me placer à un endroit du donjon bien dégagé, de mettre mes mains sur la tête, il se recule. Je dois dire qu’à ce moment là… j’avais quand même un peu peur, mais j’ai une grande confiance en ce Maître, je sais qu’il sait bien manier cet instrument, et puis si mon Maître l’a autorisé à utiliser son fouet sur moi, c’est que lui même lui accorde sa totale confiance, donc je me laisse aller.
A ce moment là, en même temps qu’un drôle de bruit, comme un petit sifflement ténu, je sens un souffle d’air parcourir mon corps, je le sens qui se rapproche, il fait voler mes cheveux, rien de plus. Et puis soudain un grand claquement, instinctivement je me bouche les oreilles de mes mains. Je me dis que le prochain coup sera le bon et que ça va faire mal mais je ne bouge pas. Mais non, le souffle revient caresser mon dos, puis de plus près, cette fois j’ai senti comme une caresse, un peu vive, rapide, éphémère presque, mais elle revient, je la sens qui passe et repasse sur mes jambes, sur mon dos, jamais fort, tout en douceur, presque sensuellement, un instant, il passe entre mes jambes et vient frapper mon sexe, juste un sursaut, pas de vraie douleur, surprise. Un autre grand claquement, un sursaut, une caresse. Cela dure un peu, je me détend peu à peu et goutte intensément à ces caresses. Maître P me demande comment je vais, je vais bien Monsieur, merci.
Et là, sans bruit, sans souffle, le fouet s’enroule autour de ma taille, je suspends ma respiration, une fraction de seconde j’ai peur, vraiment peur. Je m’attends à avoir mal, mais rien, juste le fouet autour de ma taille à peine appuyé. Je le regarde, il s’est posé sur mon ventre, je le trouve beau, sombre sur ma peau claire. Une toute petite secousse, il retombe mollement au sol mais j’ai l’impression, agréable, qu’il est toujours autour de ma taille, sa présence ne me quitte pas. Le fouet disparaît à ma vue et revient s’enrouler une nouvelle fois, sensuel, autour de moi, j’adore ce contact, pas plus de douleur qu’une pression, une caresse de cuir. Maître P joue avec moi, mon corps bouge sous les coups qui arrivent, sous la lanière qui s’enroule autour de moi et épouse mes formes.
Je n’ai plus peur du grand fouet, je sais maintenant qu’il peut donner autant de plaisir que de douleur, tout dépend de la récompense ou de la punition mais surtout et par dessus tout, cela dépend, pour la plus grande part, du Maître qui le manie. Pour moi, C’EST l’instrument de Maître par excellence que celui la ! A la fois viril et sensuel, beau et ténébreux.
J’ai vu pour la première fois la soumission au masculin et par pudeur et respect envers eux, je ne décrirais pas ce qu’ils ont subit sans se plaindre, ou presque. J’ai appris qu’ils étaient tout de même un peu plus douillets que nous, sourire, ou alors est-ce leur Maîtresse qui aiment à les entendre se plaindre ? Je ne sais pas, toujours est-il qu’ils ont passé leur temps à geindre. Ils geignaient mais ils acceptaient tout !
Maître P, le Maître de l’esclave A, utilise sur elle, à un moment, une lanière de sa fabrication, elle n’est pas impressionnante à la voir comme ça, quoique…, mais quand on le voit la manier et qu’on voit les réactions de son esclave on se doute qu’elle doit être dure. Je dit cela parce que ce Maître a proposé au mien de me la faire essayer.
Mon Maître a accepté, brrrr. Après un regard vers lui, je me suis donc mise en position, les mains appuyées sur le pilori, légèrement décalée, les jambes entre-ouvertes. Je tremblais. Mais puisque mon Maître en avait décidé ainsi, c’est qu’il savait que je pouvais supporter cela aussi. Je dois dire que je n’en ai reçu que 10 coups, mais alors woah ! En effet elle mord drôlement fort. Cette fois, c’est moi qui n’ai pas pu retenir quelques gémissements. Mais j’ai été au bout des 10 coups. Je suis admirative envers l’esclave A qui subit cette lanière souvent, peut-on s’y habituer ?.
Merci Maître P. de m’avoir honorée de la sorte.
A la fin de la soirée les Maîtres et Maîtresses nous ont fait allonger sur un grand plastic blanc tête bêche les uns contres les autres. IL était l’heure de la fête ! La fête ?La fête, c’est le moment où les Maîtres et Maîtresses prennent les bougies qui ont servi pour l’éclairage, et en versent la cire sur le dos des soumis/es avant de les éteindre. J’avais l’impression qu’on nous versait la cire à la casserole. Si si je vous assure ! C’était impressionnant, j’ai serré les dents et les mains pour ne pas me plaindre cette fois moi aussi. Il y avait un soumis, (il se reconnaîtra, sourire) qui lorsqu’il a mal, vraiment mal, rit. Et il gesticulait, et il riait en même temps, je dois dire que son rire m’a fait du bien, j’avais du mal à ne pas rire moi non plus, je ne pense pas que mon Maître aurait apprécié. Mais de sentir soumis B gigoter contre mon corps… oui ça me faisait du bien, merci à lui.
Nous nous sommes séparés, il était très tard, ou plutôt très tôt, 4 h de matin.
Je sais que je ne me souviens pas de tout, il y avait trop d’émotions pour je puisse le faire, mais tous les présents ont été plus qu’adorables avec moi, m’encourageant, me félicitant…Je suis ressortie de cette soirée encore plus amoureuse et soumise que jamais à mon Maître. Ces quelques heures furent magiques pour moi, je suis allée de merveilles en merveilles, d’émotions fortes en émotions pures. J’ai découverts tout un monde fait de respects et d’attentions.
Je remercie Maître P et son esclave A de m’avoir invitée à leur anniversaire et de m’avoir permis ainsi, d’entrer dans ce monde. J’ai hâte de vous revoir et de vous serrer sur mon cœur mon amie A
Je remercie Maîtresse L qui a pris soin de moi et m’a ouvert l’esprit à d’autres horizons.
Je remercie aussi Maîtresse S pour la douceur « torride » qu’elle mettait à me couvrir de cire, j’ai adoré cela, c’est fort, c’est intense. Je n’oublierai pas son joli sourire.Je remercie son soumis C qui nous a fait voir un autre côté de la soumission, celle de devenir ce que nos Maîtres souhaitent que l’on soit (chien pour sa part) être prêt à tout pour les satisfaire, pour leur plaisir et le notre aussi.
Je remercie soumis B qui par son rire et ses gesticulations a rendu la dernière épreuve supportable à ses cotés. J’ai également hâte de vous croiser un jour B, vous êtes exactement comme je vous imaginais, merci à vous.
Et en tout dernier, mais c’est parce que je garde le meilleur pour la fin, je remercie mon Maître Juris d’amour, de m’avoir permis, par la confiance qu’il a en moi, sa soumise novice, de m’ouvrir les portes d’un monde merveilleux. J’espère avoir été à la hauteur de ses attentes et l’avoir rendu fier de moi.
Bonsoir Aube,
Très beau récit de votre première soirée dans un donjon, une soirée d’intromission aux yeux des invités qui vous lie à votre Maître.
Récit simple, facile à lire mais qui nous exprime en détail, vos émotions, vos sentiments, vos peurs et vos angoisses.
Mais que de fierté je ressens en le lisant, vous sentant prête à obéir et rendre votre Maître fier de vous.
Félicitations à vous et surtout mes humbles respects à votre Maître qui nous autorise à lire ce récit.
soumise morgane
Merci de ce partage
Vos mots créent les images…très beau récit.!!!
Merci a vous pour ces moments ou le temps c’est arrêter durent le croisement de nos chemins.
A mon tour de laisser un post.
Il va être des plus courts
MERCI MA DOUCE SOUMISE VOUS M’AVEZ RENDU ENCORE PLUS FIER DE VOUS
Je vous adore.
Merci à Vous Paul et Alcyone, Merci à vous aussi Maîtresse Ludmilla et Briochin ainsi qu’à Mr et Mme Smith pour avoir donne du bonheur à ma douce
Merci mon Maitre, vous satisfaire est ma seule volonté.
Je remercie tout un chacun de leurs gentils commentaires, je tenais à partager cette première fois avec tout ceux que j’aime et que j’apprécie.
J’ai trouvé en venant sur ce forum, a la demande de mon Maitre, beaucoup d’amis/es. J’y ai fait des rencontres virtuelles très riches avec certains, plus discrètes avec d’autres. J’ai grande envie de vous rencontrer, de mettre un visage sur les noms et sensibilités que je croise ici.
Mes respects à tous les Maitres et Maitresses,
mon amitié à tous les soumis et soumises.
Merci aux administrateurs du forum pour ce joyau de discutions.
Aube,
Humble soumise de Maitre Juris
Jolie texte
On ressent bien l’ambiance et ton ressenti.
Merci d’avoir partagé cela avec nous;
Lady Ariciaa