L'Anneau de Justine

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    soumisedamour a adressé une note au groupe Logo du groupe Vos histoires, musiques et poèmes autour du BdsmVos histoires, musiques et poèmes autour du Bdsm il y a 2 mois

    Pour un Trasheur de mots rencontré sur ce site

    Fais de beaux rêves
    Où que tu sois
    Je t’ai écris des mots
    Tu les as ignorés
    Inutilité
    Je ne suis pas irrespectueuse
    Tu es une insulte à mes mots
    Oui tu m’insultes à chacun de tes silences, de tes mensonges
    Tu me vois trop noire
    Je sais où tu es
    Je dois tout oublier ?
    L’idée que tu sois dans d’autres bras me dégoûtent
    Moi qui ne peut pas aller ailleurs
    Je rigole avec beaucoup d’ironie
    Et de dérision de moi-même
    Aimer un homme
    Le Désirer
    Lui dire Vous et Tu
    Oui je t’aime
    Oui je Vous aime
    Je crève d’aimer
    Un amour que je ne sais pas plus donner
    L’indifférence la Votre la Tienne
    Crever pour un amour contre toutes raisons que Vous ne savez plus
    Crever pour toi est me semble déraisonnable puisque tu n’es que mensonge
    Je ne pleure plus pour un fantôme
    Je Crève pourtant pour ce mort
    Je ne pleure plus pour ce vampire qui suce le sang des autres femmes au sang vicié
    Je ne pleure plus pour ce prince au sang noir ; je ne pleure plus pour cette bête cruelle qui ignore la confiance perdue à toujours.
    Je vais me murer à toujours dans mon tumulus froid, comme sur mon dolmen de granit gris
    Une bête immonde, puante immobile de froideur perdue à jamais
    Crever comme je crève. Je ne pleure plus, je crève. Je ne pleure plus aussi pour un monstre qui fuit l’amour. Je ne pleure plus pour un monstre rustre épais qui ne considère les femmes que comme des trous.
    Je souffre comment un monstre peut-il le percevoir ?
    INVISBLE
    ICOMPREHENSION
    ME TAIRE ? je souris encore ‘Dérision de Nous dérisoire car sans foule sentimentale »
    Etouffer le cœur
    Je ne Lui manque pas
    Alors à quoi bon pleurer pour un mec dénué de vibration de sentiments et si vide de VIE
    Tu voulais que je te manque, que je Vous manque
    Cette prose est pour Vous pour toi
    L’Etranger. Ta route est lointaine. les contours de ton corps ne me quittent pas
    Un Désir vrai ne s’éteint pas ! les braises savent le souffle

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