L'Anneau de Justine

Rêve nocturne aux successives journées et nuits d’encagement :

Mon corps tout entier était devenu plaisirs de souffrances.
Le visage recouvert par la cagoule occultante, le nez étiré vers le haut par les crochets reliés à l’écarteur buccale maintenant ma bouche ouverte en grand. La sueur ruisselante se mélant à ma bave dégoulinante.
Les avant-bras et les mains tendus, emprisonnés dans un carcan de cuir relié à un crochet de poulie au plafond. Mes muscles étaient aux supplices de l’étirement prolongé.
Mes aisselles irritées, rouges perlante de gouttelettes de sang après les passages multiples des picots de la roulette.
Les tétons mordu par les pinces. Depuis combien d’heures déjà ?
Du torse au bas ventre jusque au haut des cuisses, le tout était devenu que fourmillement et démangeaison douloureux. Marqué par les incessants fouettement des feuilles de houx piquantes mêlés aux vertus irritantes des orties.
Les jambes maintenue écartées, attachées par les chevilles à la barre d’écartement . La pointe de mes orteils prenant péniblement appuie sur le sol.
Le gout salé de mes larmes s’écoulait au rythmes de l’enchainement des coups successifs et alternatifs de la langue de Dragon, du paddle ainsi que du cuir mordant d’une ceinture. La chair de mes fesses était brulante et bouillante.
Pour achever l’oeuvre diaboliquement perverse de mes punitions, le crochet anal avait été inséré et tendu à l’extrême par une chaine reliée à mon collier de soumis. Mes bourses étirées en arrière par le humbler, avaient été brulées par la cire chaude des bougies. Tout comme mon sexe raide durci, excité malgré lui par les tourments infligés. Le repli cutané de mon prépuce maintenu éloigné par les pinces. Sous le gland douloureusement inflammé par les couches de cire, la tige urétrale avait été également engloutie et recouverte.
Toute notion du temps avait disparue. Cependant l’idée que j’en était qu’au premier jour de ce week-end férié de trois jours !!