L'Anneau de Justine

Séance aux pieds de Maîtresse R. :

Acte 1

En ce dimanche soir de début septembre trainant une valise contenant tenues et accessoires, mes pas se dirigeaient en proche banlieue nord pour une première séance aux pieds de Maîtresse R. ; Son profil de Femme Dominante avait sérieusement excité mes sens et mon désir de la rencontrer, afin de m’offrir corps et âme à son joug. Était-ce l’intimidation d’être soumis aux pieds d’une vraie femme que d’avoir longtemps hésité à prendre contact ? Oui et non, surement !
La seule relation déjà eue au service d’une Femme Dominatrice, avait été de nature vénale, faisant fi à l’époque de l’un de mes principes fondamentaux . Que l’on soit Dominant ou soumis, le partage des plaisirs recherchés et assouvis par l’un et l’autre se doivent de suffire .Précisant que je conçoive parfaitement la rétribution pour certains cas ! Chacun et chacune est libre de facturer une prestation et de l’accepter ou pas.
Mes dernières relations dans le contexte Bdsm soft ou hard, étaient partagés exclusivement avec des travestis actif et Dominant bien sûr, en petit cercle fermé et restreint. .Hors contexte Bdsm ce qui est extrêmement rare, c’est dans le milieu obscure des blacks room gay, ou parfois j’aimais à l’époque, aller faire défoncer mon petit cul de fiotte.
Maîtresse R. m’avait prévenu de la présence d’un autre soumis, sans donner plus de détails. Mais ce qui m’avait été tu, était le passage de quelques personnes, Femme et Homme, du voisinage proche pendant la séance, venant apprécier en spectateur la prestation de Maîtresse R.

Acte 2

C’est le cœur battant d’excitation du déroulement inconnu de la soirée, que je me présentais à la porte de ma Maîtresse.
L’ accueil chaleureux tout en décontraction qui fut prodigué par la Maîtresse de maison, me fit presque oublier la présence d’une croix de St- André fixé un mur du salon ainsi que de nombreux accessoires posés nonchalamment de-ci de-là , dont des cravaches / martinet et grosses bougies…….
Maitresse R. était déjà superbement apprêtée, dans une combinaison body vinyle noir et violette, agrémentée de jambières violettes, sublime corps réhaussé de chaussures à plateforme généreuse. Un masque noir recouvrait partiellement son visage surmonté de cheveux d’un vert flash et d’un original petit chapeau , qui finissait de lui conférer une présentation vestimentaire qui excita honteusement mes sens de soumis encagé.

Dépêche-toi de te mettre en tenue petite salope, m’ordonna Maîtresse R. !!
L’accueil chaleureux était déjà terminé !
Tout en ouvrant ma valise et faisant l’inventaire de mes tenues, je me rendis compte que j’allais paraitre bien trop sage au regard de mes partenaires de jeux Dominant et soumis.
Finissant d’enfiler sa tenue complexe tout en cuir noir, gainée d’un corset hérissée de longues pointes, d’un masque rouge et noir lourdement cadenassé, également parsemé de longs picots, mon partenaire soumis était monté sur de très hautes chaussures à plateforme !!J’appris plus tard en débrif de fin de soirée, que cet autre soumis concevait lui-même ses propres tenues !!
Sélectionnant ma combinaison-short en vinyle noir, j’enfilais des bas transparents maintenue par un porte-jarretelle, ainsi qu’une petite culotte string ouverte devant, laissant accessible mon clito encagé pour de futurs sévices. Après voir chaussée mes escarpins, je mis en place mon collier de soumise puis ma perruque rousse aux cheveux mi-long. Finissant de compléter ma tenue avec mes longs gants en vinyle noir. Je me sentais un peu cruche et angoissait à l’idée de déplaire à ma Maîtresse !!
Maitresse R. me héla rudement de la salle de bain, en exigeant de la rejoindre immédiatement.
Tout en me félicitant sur ma présentation, elle me fit mettre autoritairement à genoux devant elle, afin de l’assister à l’installation de son long gode ceinture orange !!
Mes mains tremblaient d’excitation et d’appréhension.
J’espère que tu n’es pas trop chochotte petite fiotte soumise, tu vas devoir m’offrir tout tes orifices de lopette et avaler sévèrement mon méchant gode !! Ricana Maîtresse R.
Prouvant sa réelle supériorité, elle joignit l’acte à la parole en dirigeant fermement ma tête vers son gode orange. Ouvrant grand ma bouche, son gode ceinture s’engouffra progressivement mais profondément au fond de ma gorge, m’obligeant à bien tirer la langue et baver, sous les assauts incessants des vas et viens de ses hanches.
Acte 3

M’entrainant par la laisse, à quatre pattes dans le salon, ou de façon mystérieuse un couple d’un certain âge avait fait apparition et c’était confortablement installé sur le canapé faisant face au mur des supplices, en spectateur voyeur. Cela ne me dérangeant pas le moins du monde, assumant et appréciant fortement mon côté exhib !!
Plaçant ses deux soumis en exhibition devant ses invités, Maîtresse R. lia la boucle en cuir de ma laisse pendante du collier, de manière astucieuse et rigoureusement bien tendu autour de mes couilles et de mon sexe encagé, tout en m’obligeant à me tenir la tête bien droite grâce à la présence de sa cravache sous mon menton, étirant et compressant cruellement vers le haut, mes attributs de petite fiotte soumise, déjà douloureusement gonflés.
Puis Maîtresse R. exigea que je me défasse de mon body-short et me pressa d’enfiler ma cagoule, pour attendre bien sagement au coin de la pièce.

Obéissant aux injonctions de Maîtresse, j’entendais de violent coups de martinet s’abattre sur mon partenaire soumis, menotté à la croix de St André , jambes bien écartées !! Même si celui-ci disposait de la mince carapace de sa tenue, je sentais aux efforts non retenus de Maîtresse R. , que les coups se succédaient violemment !! Endurant fièrement sa punition , le soumis émettait aucun son , mais tout son corps était pris de tremblement et ses jambes flageolaient.
Maitresse R. riait aux éclats !!!!Ce qui détendait un peu l’atmosphère , enfin pas pour tout le monde !!

Acte 4

Quand le son des coups du martinet s’arrêtèrent, je vis Maîtresse avancer vers moi tenant dans ses mains une paire de pinces japonaise bien lourde. Mon tour était venu de subir les punitions.
Passer les premières douleurs du pincement ferme sur mes tétons, dents serrées afin de paraitre aussi forte que mon partenaire soumis, Maîtresse R. commença à estimer ma résistance à la douleur en tirant et secouant de plus en plus fort sur la chainette reliant les deux pinces !! Contrôlant ma souffrance du mieux que je pouvais, je sentais ma résistance faiblir pour finir par laisser échapper un cri d’affliction !

Petite fiotte que tu es ! m’insulta Maîtresse. Saisissant un bâillon gode, celui-ci étouffa promptement tous mes sons, une fois que Maîtresse l’eu bien attaché !
Comprenant tout juste le degré supérieur d’intensité des punitions, sans que j’y prenne garde la jambe droite de Maîtresse se leva et son pied vint écraser mes bourses violemment !! Je fus le seul à entendre le son du cri de douleurs étouffé dans mon bâillon ! Resserrant mes cuisses par reflexe, je sentais mes couilles sonner le tocsin dans tout mon corps !
Bien, c’est beaucoup mieux , quand je ne t’entends pas gémir petite lopette ! Ironisa Maîtresse R.
Acte 5

Me laissant à peine le temps de reprendre mon souffle devenu haletant, je me retrouvais menottée face à la croix de St André. Un premier coup de martinet à l’intérieur de mes cuisses m’incita à les écarter, tout en cambrant ma croupe je sentis la succession des lanières s’atteler à chauffer et marquer mon cul !! Des larmes brouillaient déjà mes yeux et je sentais ma sueur acide couler sur mon torse et mes tétons toujours fortement compressés par les pinces, pour les rendre encore plus douloureux .Mes jambes tremblotaient, mon cul me cuisait. Serrant fort les dents sur la partie intérieur du bâillon-gode, je finis par être définitivement dompté par Maîtresse R .

Tu as bien compris quelle est ta misérable condition à ma supériorité , petite catin ? Demanda pour la forme Maîtresse. Ne pouvant parler, j’acquiesçait promptement de la tête, soulagée de ne plus sentir le cuir me tanner la peau des fesses.
C’est bien ma salope, tu as donc le droit à une petite récompense ! Quand mon bâillon-gode fut retiré, Maîtresse exigea de moi que je m’allonge sur le dos à même le sol.
Acte 6

La fraicheur du sol sur mes fesses surchauffées et la possibilité enfin retrouvé de respirer librement sans baver, me parut bien trop généreux au regard de la perversité de Maîtresse R!!
Celle-ci s’étant débarrassé de son gode ceinture, elle se positionna à califourchon au-dessus de ma tête. Ecartant sa tenue au niveau de l’entrecuisse, j’avais une vue plongeante sur sa vulve qui me laissait deviner la suite. Maitrisant à la perfection son jet vers ma bouche grande ouverte, je n’avais d’autre choix que d’avaler au fur et à mesure le nectar de son champagne doré.
Furieuse de constater que j’avais laissé échapper sur le sol une partie de son généreux soulagement, je fus contraint de lécher consciencieusement chaque goutte répandue au sol.

Remets toi dos au sol , m’ordonna-t-elle sèchement !!Son gode déjà remis en place dans l’anneau de sa ceinture, Maîtresse se plaça au-dessus de moi en m’enfournant son gode son gode dans la bouche. De sa main droite tenant une cravache elle m’assena des coups sur mes parties intimes déjà bien rougies et suppliciées !!
Ça t’apprendra souillonne à gaspiller ma généreuse offrande, éructa-t ‘elle furieuse !!Hummpf Hummpf , furent les seuls sons que je pouvais produire, ma bouche étant rempli à l’étouffement par son gode.
Me libérant de son joug provisoirement, je restais au sol épuisée chaque parcelle de mon corps fortement endolorie.
J’avoue avoir eu un moment d’absence pendant lequel Maîtresse R. s’occupa de son autre soumis.
Répit bien trop court à mon gout !!
Acte 7

N’osant bouger sans instruction, j’étais resté allongée au sol quand je sentis la présence de l’autre soumis étendu également à mes côtés. Le retrait des pinces à tétons est toujours un moment horrible de souffrance, lorsque ceux-ci ont été écrasé et martyrisé pendant un très long moment. Je laissais alors couler mes larmes, gémissant le plus silencieusement possible des douleurs terribles, lorsque Maitresse R. décida dans sa généreuse bonté perverse de laisser le sang affluer à nouveau vers mes tétons.
Les premières gouttes de cire brulante tombantes sur mes tétons vinrent contribuer à maintenir ce cruel supplice. Lentement et progressivement ma vicieuse Maîtresse, égouttant la cire perversement sur mon torse jusqu’à arriver et à s’attarder au-dessus de mon ridicule clito encagé et mes bourses de chienne, partie très sensible de l’anatomie. Les brulures à la cire liquide sont une chose, mais quand celle-ci se durcit en refroidissant continuant à cuire la peau en-dessous, puis étirant chaque parcelle des grains de l’épiderme, le supplice est innommable.
Encore plus insupportable en terme de sensations, ce furent les coups de cravache pour faire sauter une grande partie de la cire durcit sur l’ensemble de mon corps !! Mettant encore à dure épreuve mes tétons ainsi que mes parties intime !!!
Alors que chaque parcelle de mon corps me faisait cuire de douleurs, une inconfortable érection vint comprimer fortement mon clito emprisonnée trop à l’étroit dans sa cage !Ce qui n’échappa à Maitresse R.

Ohoh mais notre surprenante et endurante soumise-analia, prend du plaisir malgré les sévères punitions !! S’étonna-t-elle !!- Bien ma salope, une partie profonde et intime de ton corps, reste surement insatisfaite, on va remédier à cela tout de suite petite salope! Enlève ta cage de minable lopette ! M’ordonna-t-elle !!
Acte 8

Me relevant difficilement, peu assurée sur mes jambes secouées de spasmes incontrôlés, pendant que je libérais mon clito de sa cage, Maîtresse installait un bâillon-gode peu long mais de diamètre généreux sur la bouche de mon partenaire soumis., encore allongé au sol.

Tu vas empaler ta chatte de petite fiotte sur ce doux objet de plaisirs et tu vas branler ton misérable clito de chienne ! Exécution !! exigea Maitresse R.
Me positionnant au-dessus de la tête et du gode-bouche du soumis, je m’empalais progressivement sentant le plaisirs anal m’envahir !!Masturbant mon clito pourtant douloureux et encore recouvert partiellement de cire. Maitresse alors assise sur une chaise positionna son pied droit sur la poitrine hérissé de picots du soumis et son pied gauche sous les couilles de mon partenaire soumis, qui lui aussi devait branler son membre au-dessus de sa bottine gauche.
Allez, faites cracher votre jus de putain sur mes bottines, que vous lècherez puis avalerez avec votre langue !!Mais dans mon infinie perverse bonté vous lécherez le jus de l’autre jusqu’ a la dernière goutte ! Je veux retrouver mes bottines toute luisantes et lustrées !!
Acte dernier

Personnellement alors bien excitée par l’humiliation de prendre du plaisir anal, me masturbant devant du public, le tout en ayant pour visuel la bottine et la cuisse de Maîtresse R. Ajouté aux punitions sévèrement infligées, je laissai échapper dans un râle, ma semence épaisse sur la bottine de ma Maîtresse.
C’est ainsi que se termina cette incroyable séance de soumission sous le joug de Maîtresse R. Ses deux soumis à quatre pattes, léchant et avalant le sperme de l’autre sur ses bottines !!!

Fin