L'Anneau de Justine

pensée….

Dans un profond silence d’une pièce pour moi tout reste bruyant,
Un rythme non mélodieu de mon corps qui me fait vibré,
A toujours réclamer des attentions comme un chien clémandant,
J’aimerais être frigide par moment comme le silence d’un cimetière,
Là mon cerveau et mon corps serai au repos sans que rien de diffère.

Pourtant ce que j’aimerais éteindre je le souhaite éternel aussi,
Lorsque qu’une main ou une plume me parcours à atteindre la folie,
Que ce corps en ressent le moindre millimètre parcourut,
De cette transe orgasmique de plaisir qu’illumine mon cerveau,
De cette transe orgasmique de plaisir de mon corps fondu,
Mais de vouloir que ça continu encore et encore à nouveau.

Une drogue qu’est le plaisir dans lequel je souhaite me noyer d’overdose.
Tant autant que mon esprit de cette envie en veux la même quantité,
Trouver et ressentir ce plaisir lorsque dans les yeux d’autruis je peu m’y plonger
Pourtant de ce danger j’en connais les conséquence en tout état de cause.

Une dualité incessante ou je sais que je peu trouver la paie,
Sous une main, un regard qui reste bienveillant,
Sous une voie qui fait que je me taie,
Controler comme un jouet bien obéissant.

Une claque,un geste dur qui s’abbat est comme une offrande,
Que je me cambre d’avantage qu’au supplice je clémande,
Les piqures de rappel par les rougeurs sont des feux ardents,
Qui me lance dans un euphorisme transcendant.

Mon cerveau se remplit comme une jauge de ce que j’en ressent,
Aucune barrière, dompté, guidé dans mon total abandon indécent,
Comme une féline qui ne réagit qu’à son dompteur,
Je sais qu’il veille à ma sécurité sans pudeur.

Etre juste cette poupée de chiffon qui ne dit jamais non,
Transit comme jamais dans ce puit sans fond.
Même dans de simple jeux ou l’obéissance en est absolut,
Je trouve dans toute chose du plaisir pour en être repu.