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DominantNovice a publié une note il y a 9 ans et 2 mois
Regarde moi.
Je lève ton menton avec mon index, et je te fixe du regard.
Tu es là debout devant moi, tremblante, et le froid n’y est pour rien.
Droite, les mains retenues dans le dos par un bijou menotté ; d’ailleurs tu tremblais en le mettant, tu te sentais couler aussi.
Je t’avais laissé un mot, si tu choisis de rentrer ici, tu devras oublier tout de ce que tu es pour devenir mienne.
Tu devras abandonner tes oripeaux pour naître de nouveau.
Nous nous sommes choisis ma belle, car nous avons l’un et l’autre ce que l’autre veut.
Tu veux connaitre l’abandon et moi je veux exercer mon pouvoir et gouter a ton expérience !!
Nous nous donnerons délices et supplices dans le même élan.
Alors entre, et ne dis pas un mot.
Tu t’étais vêtue pour l’occasion, rien d’ostentatoire je t’avais dit, de l’élégant, du discret je ne cherche pas une soumise de cabaret.
Alors tu avais opté pour des escarpins vernis noirs, des bas chairs à couture noire en nylon.
Porte-jartelles façon bondage à 6 élastiques larges, pas de culotte je t’avais stipulé. Et une épilation générale.
Soutient gorge assorti, seins qui en sortent à demi balconnet.
Et ta peau, blanche douce chaude et sublime, complètement poudrée et délicatement parfumée.
Cheveux crantés, beauté des années 50, ongles faits mains et pieds assortis à la semelle rouge de ses Very Privés.
Pas de bijoux, rien pour t’entraver, juste une chaîne de corps qui part de ton cou est se glisse entre tes lèvres déjà trempées et tes fesses pour souligner de nouveau ta cambrure et ton dos.
Un rouge à lèvres rouge poudré, souligne ta bouche.
Tu connais la règle, ne bouge pas, tant que tu n’y es pas invitée.
Alors tu reste là debout, et tu frissonne, au frôlement de la cravache, qui tantôt te caresse et tantôt te claque.
En appuyant avec ton l’épaule, je te fait comprendre que je désire que tu te baisses alors, lentement, tu te mets accroupi, j’ouvre tes cuisses, veut voir ce sexe qui luit.
Tu t’exécute, ouverte ainsi.
Tu offres ton regard, à mes envies, la cravache s’immisce en douceur, puis je te dis, sort ta langue, et je pose la claquette sur celle ci, suce, goûte toi et lèche.
Son goût tu le connait, nombreuses sont les fois où tu es goutée.
Je relâche le bijou menotté, je te permet ainsi de prendre position à 4 pattes devant moi.
La rondeur de ton cul, généreux n’a d’égal que sa fermeté.
Je sors de ma poche un bijou particulier, que j’ai acheté pour toi, poids et forme idéal, rosebud d’un anneau il est terminé.
Je le chauffe entre mes mains, et tout en flattant ta croupe, je te fait prendre position, je te cambre encore plus, cela te creuse le dos..
D’une main je t’écarte les fesses, et de l’autre je doigte ton cul.
Cette rose qui s’offre ainsi à moi, me donne une érection.
Mais ce n’est pas le moment pour l’instant, je veux tester ton abandon.
D’un coup je rentre l’objet, ne te ménageant pas, puis je le ressort, et je le remets encore trois, quatre fois.
Tu ne dois pas trembler, pas jouir, pas couler mais cette façon que j’ai de m’approprier de toi, te fait vaciller.
Je tire ta tête en arrière je veux voir tes yeux.
Émeraudes bardés de mille feux, du regard tu me défies, me disant, tu peux faire de moi ce que tu veux.
Le Rosebud est mis en place, j’en profite pour te doigter, le jus de ton sexe ne demande qu’a couler.
Non, tu ne jouis pas, tu n’en as pas le droit.
Pas encore, pas tant que je te donne pas la permission.
Tu es à moi tu me l’as dit. alors prouve le moi.
Avant de te laisser jouir je vais te marquer.
Et à partir de cet instant là, oui tu m’appartiendras.
Tu me regarde tremblante, levant ses yeux sur moi.
Je te dis laisse toi faire.
Je pose ma veste, dénoue ma cravate et commence à défaire mon pantalon.
Regarde moi, je te dis tu es à moi.
Et là, je sorti mon sexe et je commença…