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Le Destin de Cassandre chapitre XXV

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Chapitre XXV

La Marquise a prit un ton sec pour donner ses ordres. Je souris, c’est une maîtresse femme, je suis dans mon élément.

Un jeune laquais vient d’entrer. Il est beau dans sa livrée à rayures bronzes et blanches, ses yeux verts émeraudes me dévisagent mais il ne semble pas surprit.

« Cassandre, je te présente Gabriel. Il est notre étalon maison. Tu m’as dit que tu savais satisfaire les hommes. Montre-moi ce que tu sais faire. Henriette ! Ouvre ton corsage et viens t’asseoir à côté de moi pour profiter du spectacle ! »

Gabriel, n’a pas bougé depuis son entrée dans le salon. Je m’approche de lui à quatre pattes. Je creuse mes reins. J’ondule ma croupe, j’en sais l’effet sur les hommes. Je ne suis pas déçue quand mes mains remontent lentement sur ses jambes musclées et s’arrêtent au centre de son anatomie. J’ouvre ses hauts de chausse et je sors sa verge déjà bien enflée. Elle est énorme. Je peux à peine en faire le tour de mes doigts. Je vais aimer la sentir en moi. Je caresse la veine qui courre le long. Je flatte ce membre doux comme de la soie.

« Elle est très belle… Je l’aime déjà ! »

J’ai envie de gober ses testicules ombrés d’un doux duvet blond. Ma langue lèche la peau tendre de son sexe et il grossit encore. Je prends son gland dans ma bouche, je le suce doucement. D’un coup de reins, Gabriel s’enfonce en moi, jusqu’au fond de la gorge. J’ai du mal à retenir des hauts de cœur. Mais comme j’aime ne plus avoir le contrôle…ma chatte est en feu !

« Gabriel, n’oublies pas ton rôle, prends la sur le pouf ! »

J’avais oublié la Marquise, tout ce qui n’est pas ce sexe dans ma bouche.

Gabriel se retire. Je m’accroche à ses fesses. Je veux sentir la saveur de son foutre dans ma gorge. Il est fort, me soulève sans effort et me pose sur un pouf. Mon dos repose sur le coussin de taffetas de soie bronze, mes pieds sur le sol de chaque coté, je suis offerte. Je souris, il va investir ma grotte. Je vais sentir son pieu me remplir, cogner le fond de mon ventre. Je suis une chienne en chaleur, je veux sentir coulisser sa queue dans ma chatte. Ma liqueur coule jusqu’à mes reins, il faut qu’il me prenne là aussi.

La douleur dans mon anus sera bonne.

« Prends-moi le cul ! »

La Marquise est occupée avec sa servante, ses seins à l’air, elle embrasse à pleine bouche la jeune femme. Le spectacle lui plait.

Gabriel m’a retournée a plat ventre. Je tends mes fesses vers lui, je m’ouvre pour lui faciliter le passage. Je suis écartelée par son mandrin, il pilonne mes reins sans plus se soucier de moi. J’ai mal. Dieu que c’est bon !

Il ne faut pas que j’oublie mon rôle, j’essaye de me ressaisir.

Je repousse Gabriel, non sans mal. Pour la Marquise, il faut qu’il jouisse sur mon visage. Je reprends son sexe entre mes lèvres, il a mon goût, mon odeur. Les soubresauts dans ma bouche ne me trompent pas, je le sort et reçois sa semence sur le visage.

Je suis fière de moi, frustrée de ne pas avoir joui mais fière d’avoir réussi le test.

« Ai-je passé avec succès mon examen d’entrée ? »

« Avec brio, petite diablesse ! Tu emménages quand tu veux ! Nous t’attendons. »

« Je serai chez vous dès demain ! ».

Je vais devoir être patiente pour ma mission, rencontrer tous les hommes que je peux même les plus insignifiants en apparence mais qui seront peut-être importants au final, mais il est sûre que demain je serais là !

Mon éducation va me servir, plaire avec ma soumission sera facile. J’aime obéir. La Marquise en profitera, elle va même m’aider sans le savoir.

La même jeune femme est venue m’ouvrir et me montre mes nouveaux appartements.

La chambre qu’on m’a attribué est petite mais coquette, le lit à baldaquin est grand, semble moelleux. Il y a une petite cheminée, je n’aurais pas froid. Sur une sellette en marbre rose sont disposés broc, cuvette et serviettes de lin. Je découvre sur un des murs les instruments qui vont servir au plaisir de mes futurs clients. Je n’ai pas le temps de m’attarder à les admirer, la jeune servante qui vient de déposer mon bagage m’enjoint de la suivre.

« Je m’appelle Anne, mademoiselle. Je suis servante au service de Madame la Marquise. Elle m’a mandée auprès de vous. Je suis chargée de vous habiller, de vous coiffer, de vous maquiller et plus généralement de veiller à votre confort parmi nous. J’aimerais maintenant faire votre toilette. »

Le cabinet de toilette carrelé d’une jolie faïence bleue, respire le raffinement, la baignoire qui trône au centre de la pièce est en cuivre on y accède par une petite marche, de jolies serviettes sont posées sur une desserte en marbre blanc, un feu dans la cheminée chauffe la pièce.

Anne se déshabille, ça ne m’étonne pas, un test de plus sans doute. Elle est jolie. Des hanches fines, des petits seins en poire, une taille bien dessinée, elle se sait avenante. C’est à mon tour d’être dénudée, la coquine en profite pour me caresser légèrement la pointe des seins. C’est agréable, je me sens bien.

L’eau du bain est délicieuse, juste à bonne température. Anne a entrepris de me laver, avec l’éponge, elle passe et repasse sur les endroits sensibles. Je vois que je ne la laisse pas indifférente, le rouge de ses joues et sa respiration un peu haletante en sont les indicateurs. Je me laisse faire, sans un mot.

« Mon dieu, je me laisse aller ! Je dois vous maquiller et vous faire essayer votre robe pour la soirée, puis vous amener chez la Marquise, dépêchons nous ! ». Anne vient de se rappeler les ordres.

Dommage, je commençais vraiment à apprécier ses caresses !

« Venez, mademoiselle ! Il nous faut prendre votre robe. »

Nous sommes toujours nues, elle ouvre une porte dérobée et je découvre une pièce remplie de dizaines de robes, toutes plus luxueuses les unes que les autres, dans des tons qui vont du blanc le plus pur au noir d’encre, les tissus sont riches, de la soie, du taffetas, du velours.

« Asseyez-vous, Mademoiselle, il faut que je vous coiffe et que je vous maquille »

Anne est douce, la brosse démêle ma longue chevelure sans à coup, j’aime qu’on me peigne, qu’on lisse mes cheveux rebelles.

Pour le maquillage, elle utilise un petit pinceau qu’elle trempe dans une poudre rouge carmin et en caresse mes pommettes. Anne ajoute une touche sur la pointe de mes seins, ça me chatouille un peu mais ce n’est pas désagréable. Avec ce rouge je suis indécente au possible, je vais plaire à ces messieurs.

J’appréhende un peu, je sens mon ventre se crisper, mon petit bouton grossir, j’aime ce mélange de crainte et de désir. Je suis faite pour obéir, j’ai appris à le reconnaître, je jouis des ordres donnés.

Anne me tend une robe.

« Madame la Marquise à choisi cette robe rouge pour vous pour ce soir ! »

Je ris. La robe est rouge avec des touches de blanc, la soie est douce, de très bonne qualité mais la coupe de la jupe est pour le moins originale. Deux pans la constituent, séparés en leur milieu à partir de la taille, ils laissent mon fessier et mon pubis à découvert en permanence. Quant au haut, il est corseté, la taille très serrée et s’arrête juste sous les seins. Je l’adore, elle met en valeur tout ce dont j’ai besoin pour séduire.

J’enfile les bas blancs que me tend Anne et noue les petits nœuds de satin pour les retenir. Je chausse, enfin des mules rouges et blanches à très hauts talons.

Je me sens belle, scandaleuse à souhait.

Anne ajoute une dernière touche à ma tenue, elle me passe un lourd collier de faux diamants autour du cou qui brille de mille feux entre mes seins blancs. Je pince les pointes durcies, la légère douleur me donne le courage de me lancer dans l’arène.

Je vais contenter ces messieurs au-delà de leurs espérances et la Marquise sera ravie. J’espère pouvoir lier quelques sérieuses amitiés avec les filles de la maison pour obtenir des renseignements sur les hommes importants.

Pour l’instant, je vais descendre dans l’arène et montrer à la Marquise ce qu’une femme peut obtenir grâce à la soumission !

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