L’Empire de la Passion – Chapitre III – Par Cardassia

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Chapitre 3 : Songes et premiers pas.

L’arrêt de Travail permettait à Vanessa de prendre les choses en main et à entamer l’initiation d’Aurélie. Bien qu’elle fut perturbée par le souvenir de cette jeune femme noire appartenant au passé, l’attitude d’Aurélie lui rappelait trop les manières de sa première conquête qu’elle entreprit de dominer alors qu’elle n’avait pas quinze ans.

Vanessa contemplait le corps dénudé de sa femme et n’arrivait pas à l’imaginer vêtue. Elle la regardait faire la vaisselle, la vue de son petit cul tout rond était excitante. La nudité d’Aurélie la faisait vibrer. Elle la prenait par la taille et l’embrassait dans le cou. Elle lui marmonnait des ordres dans le creux de l’oreille.

V : « Après avoir fait la vaisselle, tu iras nettoyer tout le sous sol de fond en comble, on va y faire notre donjon. »

A : « Oui, mon amour, il faudra que je mette quelque chose car le garage donne sur la maison d’en face. »

V : « Non, tu vas travailler toute nue, moi je vais me reposer et à mon réveil, je veux un sous sol nickel. Je sais que tu rêves de m’appartenir entièrement alors prouve le moi. Si tu le souhaites, tu peux mettre le collier en cuir. »

A : « Oh ! Oui, mon amour de Maitresse. Oui, je le veux ! »

V : « Tu te mets à exiger, toi maintenant ? Finis cette vaisselle et vas travailler en bas, et comme tu as exigé, tu n’auras pas ce collier ! »

Aurélie devait en convenir, Vanessa était prête à en faire son esclave. Et l’idée d’aller en tenue d’Ève au sous sol l’excitait vraiment. Vanessa allait se coucher et s’endormait sans crier gare.

Aurélie finissait la vaisselle et fit tomber un verre qui se brisa. Un verre de pacotille fort heureusement. Aurélie nettoyait et veillait à ne pas se couper les pieds. Elle se regardait accroupie dans le miroir du couloir. Elle souriait, elle était bien comme ça. Puis un souvenir lui vint à l’esprit. Un souvenir qui appartenait à un lointain et incertain passé.

Flash Back…

Elle était nue dans sa chambre, elle était à quatre pattes face au miroir de l’armoire de sa chambre. Elle obéissait à une camarade qui l’avait priée par téléphone de faire le toutou. Elle n’avait pu se soustraire à ce désir de faire plaisir à celle qui pour l’avoir près d’elle et l’aimer en cachette, faisait d’elle son bouc émissaire. Sa victime.

Aurélie se souvenait encore de cette voix qui résonnait dans sa tête «  Tu seras nue une heure tous les soirs et devant ton miroir et tu feras la belle comme une brave petite chienne. Si tu dois être dérangée, va t’installer pour lire sur ton lit ».

Aurélie était un peu étonnée d’avoir ce souvenir, il était resté inaccessible pendant tant d’années. Elle sortait de sa rêverie et allait faire le ménage au sous sol. Elle commençait par ouvrir le garage en grand. Cela faisait bien trois ans que les choses s’étaient entassées dans l’espoir d’une hypothétique utilisation. Elle devait tout virer. Monsieur Dechemin, le voisin d’en face, était loin d’être aussi prude  et sage qu’il souhaitait le faire entendre. Il la matait par sa fenêtre alors qu’elle était en train de tirer une brouette chargée d’immondices. Le cul offert à la vue du bonhomme ne l’inquiétait pas du tout, seule sa femme et Maîtresse occupait son esprit. Seul, le désir de la servir et de l’aduler était devenu une priorité. Elle s’était faite à cette attitude très légère. Il ne lui manquait plus que le collier et des chaînes pour mieux se donner.

Au fil des heures, le garage prenait une allure plus salubre. Aurélie allait se chercher une bière au réfrigérateur, il ne faisait pas très chaud mais son activité forcenée était loin de lui donner froid. Elle s’asseyait sur le coffre congélateur et buvait une bière. Elle la laissait couler sur son menton et filer sous sa gorge pour entrer dans la vallée d’entre ses seins.

V : « C’est comme ça que tu travailles toi ? Donne moi cette bière, m’amour ! »

A : « Tu ne me l’avais pas interdit il me semble ! »

V : « Tu vas voir si je ne te l’avais pas interdit ! bref, j’ai envie de goûter à cette bière moi ! »

Vanessa était descendue, vêtue d’un short en Jean et d’un tee shirt. Elle faisait couler la bière sur le corps et léchait le liquide amer, frais et mousseux sur le joli corps. Vanessa pelotait les seins de sa femme et léchait la bière sur son ventre puis sur son sexe. Aurélie se gardait bien de faire la moindre réflexion. Vanessa en arrivait à ce qu’elle avait vu dans la cuisine alors qu’Aurélie ne s’était aperçue de rien.

V : « Quand j’ai entendu tomber le verre, je n’ai pas résisté à l’envie de venir te voir et sais tu ce que j’ai vu ? Une fille toute nue qui faisait la belle face au miroir. Tu jouais à quoi toi au juste ? »

A : « Je ne sais pas trop de quoi tu parles ! »

V : « Allons, c’était mignon, je ne veux pas te punir, je veux savoir d’où t’est venue cette belle idée ? »

A : « Vraiment, je t’assure que je ne sais pas à quoi tu fais allusion. »

De son point de vue, Aurélie était sincère, elle ne savait pas hormis l’acte en lui même d’où venait l’idée. Elle ne pouvait mettre une date ou une situation en lien avec cette attitude. La sérénité exprimée dans sa réponse amenait Vanessa à considérer que sa femme disait la vérité.

V : « Le garage à meilleure allure, tu es chou, tu vas javelliser le sol maintenant. Je crois que notre donjon sera un lieu magnifique ma toute belle. Au travail, je vais préparer le goûter ! »

A : « Tu n’as vraiment pas l’intention de me laisser me vêtir un jour n’est ce pas ? »

V : « Non, en effet, tu es la plus belle de toutes les femmes quand tu es ainsi et le collier te rendra plus belle encore. »

A : « Oui, je voulais m’en assurer car je n’ai pas l’intention de me vêtir désormais, je veux être nue tout le temps pour toi. Je ne veux pas me vêtir. Si tu veux utiliser ce que tu m’as vue faire, tu es ma maitresse vénérée alors ne te gêne pas. Qui sait si mes petits délires peuvent améliorer notre relation. »

V : « Tu avoues donc avoir eu une attitude étrange ? »

A : « Je sais que tu ne mens pas, juste que je ne m’en souviens pas. »

V : « Au boulot à présent, je prépare le goûter ! »

Vanessa montait à l’étage, laissant sa femme dans le garage. L’idée du Donjon occupait son esprit et le désir de le voir en place et de s’y imaginer lui faisait perdre un peu de temps. S’appuyant sur la vadrouille, elle contemplait mentalement le résultat et entamait derechef le lavage du sol. Elle s’activait et suait à nouveau, elle sentait la bière collante sur son ventre. C’était un parfum agréable. Ce qui l’était moins consistait à sentir le regard du vieux sur elle et elle voulait fermer la porte. Prête à le faire, elle se résignait. Vanessa ne l’avait pas envoyée nue au sous sol pour qu’elle se cache. Alors elle s’étirait de toutes ses forces offrant ses charmes au voisin qui finissait par quitter sa fenêtre. Elle s’allongeait à même le sol dur et froid, les bras en croix. Elle imaginait bien là des systèmes destinés à la maintenir immobile. Vanessa arrivait et la trouvait en pleine rêverie. Elle prit un verre d’eau froide du robinet et le vidait d’un coup sur le visage de sa belle.

Un autre souvenir plus vague celui-ci, occupait l’esprit d’Aurélie qui n’avait pas vu arriver sa femme.

Flash Back…

Elle se sentait bien allongée toute nue, elle se voyait dans une chambre avec la même armoire à glace. Elle était toute nue et avait encore à l’esprit cette voix qui lui avait murmuré de nouveaux ordres. Aurélie devait en effet respecter un rituel précis pour sa petite copine. Elle devait donc désormais faire la belle pendant trente minutes devant le miroir et rester allongée toute nue au sol les bras en croix durant l’autre demie heure.

Vanessa l’arrachait de sa rêverie en vidant d’un coup sur son visage le contenu d’un verre d’eau bien froide. Aurélie hébétée sortait de sa rêverie et Vanessa était debout au dessus d’elle, sous sa robe, elle était nue.

V : « Alors comme ça tu imagines la manière dont tu pourras te donner à moi ? Ou bien est ce comme tout à l’heure, un songe dont tu n’as pas le souvenir ? »

A : « Pour être honnête. J’avoue que cela m’a prise de la même manière, une voix lointaine comme un souvenir sauf que je ne me souviens d’avoir connu personne avant toi à part de con de Bertrand. Non, j’avoue n’avoir aucune idée de l’origine de ce rêve. J’avoue vraiment que l’idée de fixation au sol pour m’immobiliser me conviendrait bien. Tu sais, tu m’offres l’honneur de te servir et de t’avoir pour Maitresse. Je suis folle de toi au point d’aller jusqu’à mourir pour toi ! »

V : « Holà !, je ne t’en demande pas tant et sache aussi que je suis contente que tu apprécies ta condition. Aimerais tu que je prépare un rituel pour que tu deviennes ma propriété exclusive et que tu ne penses qu’à me servir et à te donner corps et âme à moi ? »

A : « Oh ! Oui, mon amour, oui ! Laisse-moi t’embrasser ma toute belle maîtresse ! »

V : « Oui ! tu en es digne ! »

Vanessa et Aurélie s’embrassaient langoureusement sur le sol dur et froid, Aurélie constituait un bon matelas moelleux pour sa maitresse qui descendait lécher son bas ventre. Aurélie était contente. Vanessa souriait et la regardait d’un air vraiment coquin.

V : « Tu sais que je peux te faire subir des humiliations, je peux t’exhiber toute nue dans des soirées SM avec un collier et une laisse. Tu sais que je peux te prêter à une maitresse à qui tu devras obéir en tout. Es tu prête à m’offrir cela sans discuter ? »

A : « Oui mon amour, je le veux ! En plus, je n’arrive pas à imaginer comment je vivrais autrement ! Merci de me priver de vêtements. Si tu savais l’honneur que tu me fais de t’appartenir ainsi, et si tu as de la visite, je me présenterai toute nue pour servir le café. »

Le sous sol lavé, Vanessa contemplait et inspectait, c’était à la hauteur de ses attentes et elle appelait Aurélie après s’être assise dans une chaise de jardin qu’elle avait posé sur une palette.

V : « Viens à moi à quatre patte ma petite chienne adorée et en silence, contente toi d’incliner la tête pour me répondre ! »

Aurélie se mettait à quatre pattes et avançait en se déhanchant vers l’estrade improvisée et elle s’apprêtait à monter sur l’estrade. Vanessa la repoussait d’un coup sec et ferme avec son pied, Aurélie était alors assise. Elle regardait Vanessa pour attendre un nouvel ordre qui arrivait très vite.

V : « Va au bout du garage et reviens debout main sur la tête, déhanche toi au maximum et contente toi de rester au sol, tu ne monteras jamais sur cette estrade sauf si je t’en donne l’ordre ! Car j’ai bien l’intention de faire mon trône ici. Mains sur la tête, tu avances et tu feras là belle comme tu as su si bien le faire dans la cuisine ! »

Aurélie comprit de suite qu’elle ne devait pas parler et avançait selon les consignes. Elle se sentait un peu ridicule mais si fière à l’idée d’appartenir à Vanessa. Elle s’agenouillait et faisait la belle, Vanessa lui ordonnait de lui lécher les bottes et elle s’exécutait en s’appliquant. Elle était grisée par cette situation. Être là sans vêtement, au pied de sa dame assise sur un trône. Il lui manquait un collier et des chaines pour compléter le tableau. C’était une sensation très puissante pour Aurélie et Vanessa se réjouissait d’entrer dans cette manière de vivre avec sa femme.

V : « Tu es une bonne petite esclave, une adorable petite moins que rien. Je t’aime comme ça. Rien ne saurait mieux me combler que te voir à mes pieds. Tu sembles prête pour te donner à fond. Tu vas faire ce rituel chaque jour, tu feras la belle à genoux devant moi pendant cinq minutes, après quoi tu t’allongeras toute nue les bras en croix, inutile de mettre des fixations, tu devras t’immobiliser de ton propre chef par ta volonté de rester digne d’être mon esclave. Notre lien affectif dans ce mode de vie sera ton entrave. »

A : « Oui, mon amour de Maîtresse ! »

Aurélie ouvrait les cuisses et levait sa robe, elle offrait sa vulve à son esclave en guise de friandise et de récompense. Elle offrait à Aurélie l’accès à l’empire de sa passion. Aurélie était dingue de sa femme et désirait être son jouet, son esclave, elle entrait dans son empire passionnel sans savoir vraiment jusqu’où cela pouvait la mener. Aurélie se couchait en chien de fusil devant ce qui allait devenir une estrade. Elle partait pour un nouveau songe et entendait à nouveau cette voix qui lui ordonnait d’aller dormir toute nue et à même la moquette quand tout le monde à la maison était endormi.

Flash Back…

La maison était silencieuse et elle quittait alors son lit , elle quittait son pyjama et allait se coucher toute nue près du radiateur, elle était bien là, elle obéissait à ce songe lointain et elle souriait, ravie d’avoir une petite copine sous couvert d’une relation conflictuelle susceptible de mettre un terme à des ragots la concernant.

Elle était bien et sans crier gare, elle s’endormait. Vanessa s’agenouillait et lui caressait la joue du revers de la main, elle la trouvait belle ainsi soumise et allait chercher le collier pour le lui passer, elle en était digne à présent. Bien qu’elle ignorait à quoi pensait Aurélie, elle ne pouvait que se féliciter d’avoir une soumise irréprochable. Il ne fallait cependant pas qu’elle fut trop irréprochable pour que cela lui donne l’occasion de la punir parfois. Encore que cette attitude parfaite pouvait susciter en elle un désir de correction pour lui indiquer combien il était mal de ne donner à sa maitresse aucune occasion de lui rappeler sa condition.

Vanessa montait au rez-de-chaussée pour prendre le collier dans la vitrine, elle le prenait dans ses mains, le caressait, elle le portait à son nez pour en prendre le parfum du cuir frais et raide. Les clous brillants constituaient un magnifique ornement. Et elle descendait pour le passer au cou d’Aurélie. Elle se résignait, elle devait plutôt lui mettre le collier alors qu’elle en avait conscience et pensait tout à coup qu’elle pourrait se baser sur l’incapacité de sa femme quant à prendre des décisions, elle la réveillait un peu brutalement et souriait.

V : « J’ai un problème, je ne sais me décider si je dois te mettre ce collier alors que tu es éveillée ou si je dois profiter de ton sommeil pour t’en faire la surprise, sachant que c’est moi qui choisit le moment. Alors tu as ordre d’y réfléchir, tu as une heure pour cela, va au coin, mains sur la tête. Tu me diras ce que tu en penses. Dans quelle circonstance je dois te passer le collier ? »

A : « Mais tu sais bien, je ne sais pas me décider ! »

V : « C’est un ordre. Va ! »

Vanessa assénait une forte claque sur les fesses d’Aurélie qui ne bronchait pas bien au contraire. Vanessa remontait pour sortir le gâteau du four et faisait passer le café. Elle irait chercher sa femelle au moment voulu. Elle voulait que sa femme prenne une décision. Une décision qu’elle devrait assumer et Aurélie, le nez au mur avec pour seul paysage le parpaing gris et granuleux, cherchait la meilleure manière de faire plaisir à sa femme Maitresse. Et elle réalisait que le Plaisir de Vanessa devait être aussi le sien et elle serait autant honorée et fière de voir le collier installé à son cou au réveil que de le sentir venir sur elle et se verrouiller pour une durée indéterminée. C’est alors qu’un autre songe vint lui hanter l’esprit.

Flash Back…

Elle était seule dans la chambre, nue à faire la belle devant le miroir, il y avait quelque chose de plus dans l’image du reflet, un collier rouge avec une plaque, un collier de chien à son cou de chienne qui se donnait pour cacher une idylle homosexuelle réprouvée par sa famille. Elle était devenue la propriété de cette camarade qui dans le souvenir lui avait ordonné de se présenter en cours avec le collier et nue sous sa robe. Elle y était allée ainsi et cette histoire avait fait le tour de la petite ville. « Une fille noire traitée en esclave » faisait la une de la presse locale

Aurélie sortait de sa rêverie grâce au concours d’une gifle sonnante au visage. Abasourdie, Aurélie ne répliquait pas, sa Maitresse avait également ce droit là et n’avait pas à le justifier

V : « Tu rêvais, ma louloute, alors as-tu décidé ? »

A : « Je serai honorée que tu m’en fasses la surprise et au moment qui te plairas ! »

V : « C’est étrange, j’aurais pensé que tu voudrais le porter au plus vite ! »

A : « Je suis à tes ordres. »

V : « Alors d’accord ! Quand je voudrais, je te le passerai durant ton sommeil, maintenant, dis moi à quoi tu rêvais ? »

A : « J’avais une voix lointaine qui m’ordonnait de porter un collier rouge pour chien pour aller en cours et j’étais aussi privée de petite culotte ! »

Vanessa était enfin ravie d’avoir une réponse claire, pourtant cela ressemblait à un vieux souvenir. Elle n’arrivait pas le dater dans le passé et elle décidait de donner le goûter à son esclave. Elle s’installait sur l’estrade, croisait les jambes et prenait l’assiette ou était posée une belle part de fondant aux poires et au chocolat. Aurélie reçut l’ordre de s’agenouiller et de faire la belle, Aurélie comprenait en quoi consistait l’exercice. Elle mettait les mains dans le dos et devait attraper le bout de pâtisserie à l’aide de sa seule bouche et le recul de la chaise rendait incertain l’équilibre. Un exercice des plus difficiles pour Aurélie qui pourtant désirait autant ce gâteau que combler sa maitresse.

Craignant qu’elle ne se brise les dents en tombant, Vanessa lui en tendait un bout et le laissait tomber dans la bouche grande ouverte de la belle soumise. Vanessa s’accroupissait et caressait le ventre et les reins de sa soumise, elle prenait la vulve à pleine main et jouait avec le clitoris. Aurélie savait ce qu’attendait sa femme Maitresse et s’appliquait à ne pas réagir.

V : « C’est très bien, tu es une bonne petite. Tiens, tu as droit à un autre bout de gâteau, montre t’en digne en faisant le tour de la maison en courant et en criant : Je suis contente d’appartenir à ma Maîtresse. »

A : « Je dois faire ça ? »

V : « Oui, ma belle, tu dois faire cela comme tout ce que je t’ordonnerai de faire ! »

Aurélie était subjuguée par la demande, faire le tour de la maison en marchant était une chose, courir en criant son bonheur d’appartenir à sa femme était une autre affaire. Aurélie était tiraillée entre la peur de se lancer dans cette course ridicule et le désir de combler sa maîtresse. Elle se décidait enfin.

A : « Je refuse de faire cela ! Je peux t’appartenir de manière plus digne, je veux que cela soit notre intimité, tu n’as pas tout les droits sur ma personne ! »

V : « Eh bien voilà, enfin tu sais rapidement prendre une décision ! Bon, va marcher autour de la maison et répète à voix basse que tu es contente de m’appartenir ! »

Aurélie trouvait l’ordre raisonnable et allait faire le tour de la propriété en répétant doucement sa fierté d’entrer sous le giron dominateur de sa femme adorée. Elle revenait au garage en marchant. Vanessa n’y étais plus. La chasse d’eau informait Aurélie de l’endroit ou s’était rendue sa femme qui lui ordonnait de recommencer parce qu’elle n’avait pas pu assister à son retour. Aurélie retournait donc marcher autour de la maison et répétait sa fierté de désormais se livrer corps et âme à Vanessa. A son retour, Vanessa était à nouveau absente et Aurélie comprenait qu’elle devait refaire un tour de maison. Se promener nue autour de la maison par trois reprise avait de forte chance d’attirer l’attention du voisinage et à son Retour, Aurélie trouvait Vanessa assise toute nue sur le trône. Aurélie courait à elle et s’enfonçait la tête dans l’entre cuisse légèrement parfumée d’urine. Peu importe, Aurélie ne tenait pas trop à lâcher Vanessa pour l’instant.

V : « Tu as été excellente mon trésor, tu peux monter lire à l’étage. Faire ce que tu veux de ta soirée. »

A : « Vrai ? J’ai donc le droit de rester nue au sous sol et m’asseoir sur le trône, les cuisses ouvertes ? »

V : « J’ai dit à l’étage ! Et tu vas passer une jolie robe pour ta soirée ! »

A : « Pitié ! Maîtresse, ne m’obligez pas à m’emprisonner dans une robe, laissez moi nue ma belle Maitresse, je vous en prie ! »

V : « Pas de supplique inutile, monte passer cette robe et bien entendu, il y a une jolie culotte à mettre sur ton joli cul ! »

Aurélie n’avait plus envie de se vêtir, voilà près d’un mois qu’elle n’avait rien mis sur elle, pourtant les menstrues allaient signer une pause en matière de nudité et Aurélie devrait s’y conformer. Elle montait, elle se douchait et repartait dans un nouvel étrange songe ou enfin un petit indice lui était révélé. A moins que cela ne fut que l’écho de la voix de sa maitresse.

Flash Back…

Elle était dans la cour de récrée du collège et celle qui la dominait depuis le début de l’année scolaire relevait sa robe bien haute et lui ordonnait de baisser sa culotte et de la lui remettre. Elle obéissait pour protéger son idylle et se retrouver les fesses à l’air devant tout le monde. Elle libérait sa culotte de ses chevilles pour la donner à cette camarade pour qui le cœur battait la chamade. Elle avait reconnu Aurélie alors qu’elle n’avait que quatorze ans.

A : « Mince alors, mais pourquoi ces songes, je ne me souviens pas avoir vécu cela moi. Et que fait ma douce maîtresse dans ce songe, que fabrique donc mon ciboulot à m’imposer cela. Je déraille complètement ! »

V : « En effet, chérie, tu parles toute seule, encore un songe, un rêve éveillé ? »

A : « Ce n’est rien de grave, laisse moi t’embrasser, je t’aime tu sais. Je suis triste de devoir me vêtir. J’aimerai tant rester toute nue. J’ai l’impression de perdre ma notion de propriété, j’ai l’impression d’être à ton niveau ! »

V : « Que voudrais tu porter alors ? »

A : « Mais rien du tout, je ne veux rien porter du tout. Je ne veux plus m’habiller, s’il te plait, ne m’y oblige pas ! »

V : « C’est vraiment étonnant, n’importe quelle nana me supplierait de la laisser se vêtir et toi tu veux rester à poil ! »

A : « Parce que je ne suis pas n’importe quelle nana, je suis ta petite chienne soumise, ta douce et docile esclave et voilà pourquoi seule la nudité me revient. »

V : « Fort bien, reste nue… Sous la robe ! Obéis ! Je te prive de culotte, sois en déjà ravie ! »

A : « Oui, Mon amour ! »

Aurélie était un peu triste de se trouver serrée dans cette robe et ce harnais. Elle sentait l’air contre son sexe et ses fesses. La robe était courte et Vanessa pouvait donc voir son intimité quand elle s’asseyait face à elle avec l’obligation de garder ouvertes ses cuisses. Vanessa était une petite vicieuse et cela comblait Aurélie

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